Archives de catégorie : Contestation

Réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 1er novembre 2018 : le maire isolé!

La réunion du 1er novembre 2018 s’annonçait comme une réunion tout à fait ordinaire. Et puis, tout a été chamboulé.

Ordre du jour – 1er novembe 2018

Procès-verbal – 1er novembre 2018

Voici la vidéo de la séance complète. Des extraits de la séance pour certains points sont disponibles plus bas.

La séance a donc commencé avec la lecture d’un communiqué par la directrice-générale, dont voici la copie : Communiqué – Travaux de pavage sur le boulevard Rodrigue

Si on comprend bien, le maire Gilles Carpentier a fait exécuter des travaux d’asphaltage devant son domicile, alors que ces travaux n’avaient pas été autorisé par le conseil! Le maire Carpentier a plaidé la bonne foi dans cette affaire. Il a déclaré qu’il pensait avoir le pouvoir de faire cette demande, et voulait faire économiser à la municipalité sur un déplacement de l’entrepreneur, ce dernier étant déjà sur place pour faire des travaux d’asphaltage non loin du domicile du maire. Jusque là, rien de spécial, si ce n’est une maladresse qui ne devrait plus avoir sa place à Sainte-Marie-Madeleine. M. Carpentier a pourtant pu constaté de visu, étant conseiller à l’époque, tout ce qui ne tournait pas rond avec l’administration de l’ancien maire Simon Lacombe.

Le reste de la séance s’est déroulé sans autre anicroche, jusqu’à un point à l’ordre du jour qui avait été ajouté à la demande des conseillers. Et c’est là que tout a basculé, comme vous pouvez le constater dans cet autre extrait.

Chaque conseiller a prit la parole, et s’est publiquement dissocié du maire Gilles Carpentier! Comme coup de théâtre, s’en était tout un!

Pressés de questions lors de la dernière période de question par les citoyens, les conseillers ont répondu qu’ils se dissociaient du maire pour son manque de transparence, notamment dans l’affaire de l’asphalte précédemment mentionné. Mais si on lit entre les lignes, il semblerait que les conseillers ne ce sont pas basés seulement sur cet incident pour prendre leur décision, et que cela signifierait que le manque de transparence du maire Carpentier ne se limiterait pas juste à l’affaire de son asphalte! Certains citoyens pourraient prétendre que, encore une fois, d’un maire à l’autre, c’est du pareil au même. Heureusement, contrairement à auparavant, les conseillers semblent faire leur travail de surveillance et de veiller aux intérêts de tous les citoyens.  Il reste à voir comment la suite des choses va se passer maintenant que le maire Carpentier est fin seul.

Prochain rendez-vous le 6 décembre 2018!

Une réunion pourquoi au juste?

Les citoyens des rues Normand et Millette ont reçu la visite d’un employé de Moto-Centre St-Hyacinthe qui amenait soi-disant une invitation à une “réunion” d’information organisé par M. Sylvain Lévesque le 9 août 2017 à 19h. En effet, rien n’est sûr, vu que M. Lévesque n’a même pas eu le courage de venir en personne, et que la feuille ne comportait aucune entête et aucune signature. Assez pathétique merci.

La feuille indiquait donc que la réunion était pour permettre aux citoyens de poser des questions sur le projet sur l’ancien terrain de LKQ que les SS Lévesque souhaite développer. Très bizarre. En effet, pourquoi cette rencontre n’a-t-elle pas eu lieu AVANT le vote au conseil? Pourquoi maintenant? C’est peut-être parce qu’un groupe de citoyen a fait une demande d’ouverture de registre, première étape pour un référendum sur le projet intégré souhaité par M. Lévesque. Cela ressemble d’ailleurs à une vieille tactique du maire Lacombe, soit celle de passer en douce des projets ou résolutions en prenant pour acquis que personne ne remarquera rien avant qu’il ne soit trop tard. Pour une fois, ce sont les citoyens qui ont pris les devants pour se faire respecter, et il est probable que M. Lévesque veut éviter que son projet soit rejeté par référendum.

La feuille indiquait aussi que la réunion était pour apporter les bonnes réponses aux interrogations des citoyens, et que le but était de vivre dans un quartier paisible pour tous. Vraiment? Pourtant, ce ne sont là que des foutaises! Pour en être convaincu, il suffit de voir ce qui est arrivé à Mme Noëlla Paquette Desrosiers, désormais enclavé par le garage de la honte. M. Lévesque a maintes fois démontré son mépris pour les réglements municipaux, étant même amené en cour, ce qui fait de lui un bien piètre citoyen corporatif. Pourquoi soudainement M. Lévesque aurait-il à coeur les intérêts de ses voisins? Il faut rappeller que c’est lui qui a tenté d’intimider les conseillers en pleine séance du conseil le 7 mars 2016, et tout ça parce qu’il n’avait pas obtenu ce qu’il voulait! Et c’est lui aussi qui a mis au grand jour l’erreur de jeunesse du conseiller Jean-Guy Chassé pour tenter de détruire sa réputation et l’intimider lors de la réunion du 1er mai 2017! Toutes ses actions semblent indiqué que M. Lévesque est prêt à faire beaucoup de choses pour avoir ce qu’il veut. Ce sera quoi cette fois-ci, si son projet est rejeté par référendum?

Lors de la réunion, M. Lévesque ramènera probablement encore ses vieux arguments : ça va rapporter des taxes, un référendum ça coûte cher, faites-moi confiance, c’est moi la victime. Regardons-les dans l’ordre.

Peu importe le projet, des taxes seront versées à la municipalité. Mais si c’est pour les dépenser en frais d’avocat pour l’obliger à respecter les réglements, alors ça ne servira pas à grand chose! Surtout que la tendance chez les SS Lévesque est de faire n’importe quoi, et quand ça sent la soupe chaude, ils se tournent vers leur ami le maire Lacombe pour rendre tout ça légal (ex. dérogation de l’abri à sel et % d’occupation en superficie)! Les apparences de favoritisme sont donc très présentes, ce qui n’a rien pour rassurer les citoyens.

Quand au coût du référendum, il va coûter moins cher que tous les frais d’avocats engagés pour forcer M. Lévesque à respecter les réglements de Sainte-Marie-Madeleine! En fait, étant donné que le maire Lacombe ne défend plus les citoyens, préférant semble-t-il favoriser son ami, c’est le seul moyen qui reste aux citoyens pour être sûr d’être respecter. Voilà où les citoyens en sont rendus.

Et finalement, M. Lévesque n’est absolument pas digne de confiance, et il peut tempêter autant qu’il veut ce n’est pas lui la victime, ce sont les citoyens autour! Le garage de la honte en est un bel exemple. Il faut aussi regarder ce qu’il a fait avec les entrepôts sur le bord de la 116 pour voir ce qui risque d’être construit en arrière des résidences : des entrepôts d’environ 36 pieds de haut, amenant de la pénombre et un problème d’îlot de chaleur, des lumières aveuglantes, des caméras de surveillance qui couvrent plus que son terrain et qui brime l’intimité des voisins, beaucoup de circulation, bref rien de bien paisible, sans compter une possible diminution de la valeur des résidences autour de l’ancien terrain de LKQ! Ce qu’il veut est probablement que son projet soit accepté, et quand tout sera terminé, et que les citoyens seront confrontés avec les problèmes, il s’en lavera joyeusement les mains! C’est ainsi qu’il a agit avec le garage de la honte et Mme Noëlla Paquette Desrosiers en est la victime! Les citoyens ont une chance de faire connaître leurs inquiétudes et d’exiger de se faire respecter avant que tout ne soit fait. En effet, avec les SS Lévesque, vaut mieux agir AVANT que APRÈS. D’ailleurs, qu’elles bonnes réponses veut-il présenter? Son projet intégré est connu des citoyens concernés, et cette rencontre risque plus d’être une info-pub qu’un véritable dialogue avec les citoyens. La réunion sera donc très intéressante aux citoyens qui s’y présenteront, mais que ceux-ci ne soient pas dupes : les seuls intérêts dont se préoccupent les SS Lévesque sont les leurs seulement.

Réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 5 juin 2017 : du bon et du mauvais

La réunion du 5 juin 2017 du conseil de Sainte-Marie-Madeleine ne passera pas à l’histoire. Parce que tout simplement, les mêmes histoires s’y sont répétées.

Procès-verbal – 5 juin 2017

D’abord, commençons par la bonne nouvelle. Le maire Lacombe a reculé dans sa tentative de cacher la vérité sur sa vraie nature (dévoilé par Infoman les 23 mars 2017 et 13 avril 2017 derniers) aux citoyens de Sainte-Marie-Madeleine. En effet, le seul changement apporté aux procédures des réunions du conseil est que la première période de questions porte uniquement sur les points à l’ordre du jour. C’est tout! (Le Courrier de Saint-Hyacinthe – Enregistrer les séances restera permis) Ainsi, les demandes complètement insensées faites par M. Patrick Toutant, lors de la réunion du 3 avril 2017, ont toutes été mises à la poubelle! Le maire Lacombe n’a pas donné de détails, mais les multiples articles dénonçant sa position ont sûrement dû l’amener à réfléchir. Bien sûr, rien ne garanti que le maire Lacombe ne reviendra pas à la charge. Les citoyens autant que les opposants devront être vigilants à ce sujet.

Passons maintenant aux mauvaises nouvelles. Le propriétaire du 625 Boul. Laurier a fait de multiples demandes au conseil. Et ne soyez pas surpris, elles ont toutes été accordées! On ajoute dans la zone 203 les usages d’entreprise de déneigement et d’entreprise en construction dans l’ancien terrain de LKQ? Accordé! Dérogation mineure pour l’abri à sel construit sans permis? Sans problème, alors même que la municipalité est en cour à ce sujet! Le maire Lacombe et les conseillers membres de son équipe, Chantal Bernatchez, Patrice Barbot, Daniel Choquette et Lise Cadieux ont tout accordé à ce propriétaire, malgré ses nombreux manquements envers la réglementation municipale.

Un point à l’ordre du jour stipulait que le conseil allait assurer la défense des conseillers Daniel Choquette et Lise Cadieux. Il semblerait qu’ils aient porter plainte à la police pour intimidation. Étonnant!  Après avoir été dans l’opposition, pour revenir dans l’équipe du maire, et, soyons honnête, être d’une suffisance et d’une arrogance envers leurs collègues indépendants et les citoyens, c’est en effet surprenant qu’ils réagissent ainsi! Ils croyaient que jouer ainsi à la girouette et être méprisant envers les citoyens allait être sans conséquence? Pour le gros bon sens, on repassera! Légalement, la municipalité a le devoir de défendre les élus. Ça ne veut pas dire que leurs agissements sont moralement défendables. Espérons qu’ils retrouvent un peu de plomb dans la tête, car ils risquent d’avoir des surprises aux prochaines élections.

Il semble aussi qu’il y ait eu une mise en demeure d’envoyer au conseiller Jean-Guy Chassé concernant des propos tenus à l’endroit de M. Patrick Toutant lors de la réunion du 1er mai 2017. Encore ici, le conseil est tenu de défendre ses élus. Mais le but de la démarche de M. Toutant est nébuleux, puisque les propos de M. Chassé à son égard serait semble-t-il la stricte vérité. Serait-ce une tentative d’intimidation envers M. Chassé? Ou un moyen détourné pour faire taire un conseiller indépendant? La question se pose.

Finalement, une citoyenne est venue se plaindre que Moto-Centre St-Hyacinthe, propriété de M. Lévesque, contrevenait au règlement sur les pancartes de la municipalité. Elle avait déjà fait part de ce problème à M. Julien Dulude, inspecteur municipal, en janvier dernier. Or, rien n’a été fait pour que M. Lévesque se conforme à la réglementation! Pire, le maire Lacombe a répondu de façon condescendante à la citoyenne que Moto-Centre pouvait mettre le nombre de pancartes qu’il voulait! Et à cet instant, le maire Lacombe a pour la première fois mentit directement aux citoyens, et c’est facile de le prouver! Au début de la contestation contre le garage de la honte, des citoyens ont installé des pancartes pour dénoncer la situation. La municipalité a alors utilisé des moyens légaux, par l’envoi de lettres enregistrés, dont une livré par huissier, pour faire enlever les pancartes! Et vous savez quel réglement a été invoqué par la municipalité? LE MÊME QUE LE MAIRE LACOMBE DIT QUE MOTO-CENTRE N’A PAS À RESPECTER!!! (Pour information, il s’agit du Chapitre 11 – Affichage du réglement de zonage 09-370). Le maire Lacombe envoi donc ce message très clair aux citoyens :  soyez ami avec moi, et les règlements s’appliqueront différemment pour vous! La prochaine campagne électorale en novembre prochain risque d’être très intéressante.

Prochain rendez-vous le 3 juillet 2017!

Réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 1er mai 2017 : dictature et censure

La réunion du 1er mai 2017 du conseil de Sainte-Marie-Madeleine était la première au nouvel emplacement, soit l’Église Évangélique Baptiste.  On peut changer le maire Lacombe d’endroit, ça ne le changera pas pour autant! Et cette réunion l’a prouvé une fois de plus.

Ordre du jour – 1er mai 2017

Procès-verbal – 1er mai 2017

En commençant la première période de questions, M. Bernard Cayer a demandé qu’à l’avenir, la première période de questions soit rallongée à 30 minutes, au lieu de l’enlever, comme demandé par Patrick Toutant à la réunion du 3 avril dernier. Toutes les raisons évoquées par M. Cayer étaient légitimes.

Revenons à la réunion du 3 avril dernier. Patrick Toutant avait fait des demandes en accord avec le maire Lacombe, puisqu’elles se sont retrouvées sur l’ordre du jour de la réunion suivante le 1er mai, contrairement à d’autres demandes de citoyens, qui elles, ont été ignorées et mises aux oubliettes. On retrouvait les demandes de Patrick Toutant au point 6.1 de l’ordre du jour (Ordre du jour – 1er mai 2017).

Alors, on peut constater avec le point 6.1, que le maire Lacombe a décidé d’utiliser des méthodes dignes de la Corée du Nord pour bâillonner la liberté d’expression des citoyens. En effet, c’est toujours plus facile de tirer sur les messagers que de pointer du doigt les problèmes au conseil! S’il ne veut pas se faire ridiculiser par Infoman (les 23 mars 2017 et 13 avril 2017 derniers), et bien qu’il cesse d’être ridicule! Et dire que le maire Lacombe ose prétendre qu’interdire les enregistrements c’est légal! Il semble penser que les citoyens croient encore tout ce qu’il dit !

Ensuite M. Cayer explique qu’il a fait la demande de se procurer le code de déontologie de la municipalité au bureau municipale. On lui a répondu de remplir le formulaire d’accès à l’information sur le site Internet de la municipalité. Procédé ridicule pour cette demande, qui prend au moins 20 jours avant d’obtenir les documents. M. Cayer, n’ayant pu trouver le formulaire parce qu’il n’est pas sur le site, a décidé de téléphoner à 2 autres municipalités voisines pour faire la même demande. Quelle surprise se fût, quand on lui a répondu: « bien sûr je vous envoie ça par courriel » en moins de 2 heures il avait reçu les documents. Mais pourquoi le maire Lacombe, qui est responsable des documents, ne veut-il pas que ses citoyens soient bien informés?

Ensuite, M. Sylvain Lévesque est venu présenter un autre projet de développement. Avec ce qui est arrivé avec un de ses prédécents, le scepticisme est de mise envers ses idées de grandeur. On aurait dit qu’il voulait pousser les conseillers à prendre une décision le soir même. Ce projet se fera sur l’ancien terrain de LKQ, zone 203, et justement sur l’ordre du jour, il y a des demandes de changements de zonage pour cette zone, pour accommoder ce projet.

Mais ce n’est pas tout, Sylvain Lévesque a répété une autre fois que les pompiers coutent beaucoup trop cher à la municipalité pour toutes les sorties inutiles qu’ils font, mais que lui pourrait leur vendre le service de premier répondant pour $1000 par mois. Il veut créer une autre dépense, car ce service n’existe pas à Ste-Marie-Madeleine présentement, il a déjà été refusé aux pompiers.

Il a continué avec un 3ième sujet, disant que certains citoyens ont fait une campagne de salissage sur la directrice général Lucie Paquette, en parlant de sa condamnation pour fraude dans son ancien emploi à St-Valérien-de-Milton, et que ça doit cesser. C’est alors que quelques citoyens ont applaudis. Ces citoyens n’ont certainement pas compris que le dévoilement de la fraude de Mme Paquette avait été fait dans un but de prévention, faut-il préciser, avant de lui donner le poste de DG et non pas de salissage gratuit comme certain laisse croire. D’ailleurs, parler de salissage alors qu’on a soi-même fait de l’intimidation aux conseillers en pleine réunion de conseil ne fait pas vraiment sérieux. Mais Sylvain Lévesque, lui, voulait prouver a-t-il dit : « que personne n’est blanc comme neige ». Alors lui a fait ce qu’il dit devoir cesser, en salissant un conseiller. Il a affirmé, en déposant un dossier devant le conseil que Jean-Guy Chassé avait un casier judiciaire. Allez voir l’expression sur les visages du maire et de Patrice Barbot, ils jubilent de plaisir. Sylvain Lévesque a ensuite demandé aux autres conseillers et au maire qu’est-ce qu’ils allaient faire avec ça? M. Chassé a expliqué que «ce dossier, est pour un vol d’espadrille à $100 lorsqu’il avait 18 ans et ça n’avait aucun rapport avec ses fonction dans une municipalité.», contrairement à Mme Paquette.

Un autre citoyen a posé une question, cette fois au conseiller Gilles Carpentier à savoir, qui avait payé la réparation du fossé qui longe son terrain. Et M. Carpentier a répondu qu’il avait pris ses permis, et qu’il avait toutes ses factures payées pour le fossé de 65 pieds longeant son terrain, mais que le coin du rang Nord Ouest, ne lui appartient pas et que celui là avait été refait par la municipalité.

Pour faire changement, il y a eu un désaccord sur le contrat de la DG, à savoir que le maire Lacombe, Daniel Choquette et Patrice Barbot s’obstinaient à dire que ce contrat est privé. Gilles Carpentier et le citoyen Bernard Cayer ont tous les deux affirmés séparément, qu’ils se sont informés au MAMOT et que le contrat de la DG est public.

Ça continu avec la demande du vote sur les 2 points concernant, l’engagement du nouveau secrétaire-trésorier et d’une secrétaire-réceptionniste. Gilles Carpentier a voté contre et a tenu à dire les motifs de ses refus. Premièrement, il ne veut pas voter pour des contrats, ou sur quoique ce soit qu’il n’a pas vu. Lise Cadieux et Daniel Choquette qui sont sur le comité qui engage le personnel, ont dit qu’il n’y avait plus de contrat, mais seulement des ententes. Alors Gilles Carpentier de répondre, qu’il veut voir les ententes avant d’accepter et il a demandé à la directrice général est-ce que je peux voir les ententes et elle a répondu que les ententes étaient en cours de rédaction. Encore une fois, comme pour le contrat de Lucie Paquette, ça marche à l’envers, ils font voter les conseillers avant que les papiers officieux soient rédigés.

Un point important de cette réunion est celui où, l’école St-Joseph-Spénard demande un don, pour les aider à améliorer la vie des enfants qui fréquentent cette école. Qui sont ces enfants? Les enfants du village de Ste-Madeleine et de la paroisse de Ste-Marie-Madeleine. Un comité s’occupe de faire barrer la rue pour la sécurité des enfants et de faire planter des arbres pour embellir la cour d’école, mais surtout qu’ils puissent avoir de l’ombre en été. Alors ils ont demandé des dons aux 2 municipalités pour les aider à payer leur projet. Lise Cadieux a dit que c’était remis. Alors à la 2e période de questions, 2 dames du comité de ce projet sont venues dire que le projet serait réalisé avant la prochaine réunion du conseil, donc qu’ils ne pouvaient pas remettre ça. C’est alors que le chat est sorti du sac, croyez-le ou non, ils voulaient attendre parce que Daniel Choquette entre autres, avait peur de donner plus que le village!!! Il tenait mordicus à savoir si le village allait donner et combien, avant de décider si la paroisse de Ste-Marie-Madeleine allait donner et combien. Est-ce possible que quelqu’un soit à ce point aveuglé par des rancunes, au point de priver des enfants d’un peu d’ombre? Avant de faire un don pour enfant-soleil, demandez-vous à votre voisin s’il donne et combien ? Heureusement que Jean-Guy Chassé, Gilles Carpentier et Chantal Bernatchez ont dit que’eux étaient d’accord à voter tout de suite pour faire le don de $3000 comme demandé. Et après un peu de bla bla bla, ils ont fini par tous voter.

Le conseil a eu droit à la visite de Mme Marie-Ève Martel (Administratrice à la Fédération professionnelle des journalistes du Québec). Elle a essayé d’expliquer son point de vue, car le maire Lacombe et Daniel Choquette parlaient en même temps qu’elle, alors elle a dit : « Est-ce que je peux finir? » et elle a dit que les séances du conseil sont publiques, que les journalistes sont des citoyens, et que c’est un recul au droit à l’information que de vouloir empêcher l’enregistrement visuel des réunions et une entrave à la liberté de presse.

Une citoyenne par la suite a dit que le rôle des élus municipaux était d’écouter les citoyens et que s’ils enlèvent la 1ère période de questions, ça laisserait moins de temps aux citoyens pour parler. Le maire Lacombe et Daniel Choquette ont aussitôt dit: « ne partez pas de nouvelle là, on raccourci pas la période de question, elle sera dédiée seulement à des questions se rapportant à l’ordre du jour. » Mais alors pourquoi avoir écrit sur l’ordre du jour, abroger la 1ère période de question ??? C’est à se demander s’ils comprennent ce qu’ils font?

Ce fût au tour d’une jeune dame d’essayer de faire comprendre à certains membres du conseil, qu’il serait moins dispendieux pour la municipalité, d’envoyer tous les enfants s’amuser ensemble au camp de jour du village et de payer la différence du prix pour les non-résidents, que de séparer les enfants et de payer le local $4000 pour 8 semaines + les T-shirts + le personnel etc… Le maire Lacombe de dire en pleine église : « En janvier 2013 le village nous a mis dehors, quand tu te fais donner une tape sur la yeulle, on va pas présenter l’autre joue! » La citoyenne a bien essayé de leur faire comprendre que c’était mieux pour les enfants et plus économique pour la paroisse. Jean-Guy Chassé était bien d’accord avec ça, mais lorsqu’elle a bien vu que la majorité ne voulait pas comprendre, elle a dit : « Vous comprenez pas?» et le public s’est éclaté de rire.

Cet article est terriblement long, malgré tout il ne couvre pas tout ce qui c’est passé, donc allez voir la vidéo pour constater par vous-mêmes.

Prochain rendez-vous le 5 juin 2017!

Réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 3 avril 2017 : un vrai scandale!

La réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 3 avril 2017 est à marquer au fer rouge. Le maire Lacombe, avec ses 2 alliés soumis Chantal Bernatchez et Patrice Barbot et les éternels indécis, Lise Cadieux et Daniel Choquette, avaient l’air d’exercer une revanche rapide et brutale sur les 2 conseillers indépendants restants et les opposants. Depuis quelques temps Lise Cadieux et Daniel Choquette sortent soudainement de leur tanière, en voulant démontrer qu’ils sont capables de prendre des décisions. Peut-être dans le but de mériter des votes aux prochaines élections? Mais pour cela faudrait-il que leurs décisions soient bonnes, ce qui veut dire qu’elles soient prises dans l’intérêt commun des citoyens. Peut-être y’a-t-il aussi de la jalousie, car le dernier conseiller rentré, Gilles Carpentier, prends beaucoup de place depuis son arrivée. On l’a vu dans les média et fait marquant, il se démarque par sa transparence tant recherché par les citoyens depuis longtemps. Il est le seul à poser des questions sur les comptes à payer, à dévoiler des montants que le maire espérait garder cacher et répondre clairement aux questions des citoyens. Daniel Choquette et Lise Cadieux sont sur le conseil depuis plusieurs années et on ne les a jamais vu questionner l’administration du maire Lacombe. Étaient-ils toujours d’accords avec le maire Lacombe? Ou s’ils n’osaient pas soulever la poussière bien collée depuis des années et se la coulaient douce? Pas d’opposition pas de travail! Que ce soit l’une ou l’autre de ces raisons, pourquoi n’ont-ils jamais rien fait qui attire l’attention des citoyens avant?

Ordre du jour – 3 avril 2017

Procès-verbal – 3 avril 2017

La soirée a d’abord commencé par le maire Lacombe qui a ajouté 2 points à l’ordre du jour et pas n’importe lesquels. Nous y reviendrons tantôt. Ensuite, il a brutalement interrompu une citoyenne qui avait commencé à poser une question, pour donner la parole à Patrick Toutant. Ce citoyen disant qu’il venait pour « DÉFENDRE » le maire Lacombe suite à la capsule d’Infoman du 23 mars 2017. Il a demandé, tenez-vous bien, à ce que soit INTERDIT toute prise de vue, tout enregistrement audio, tous les cellulaires, tablettes et caméras, et même toute présence de journaliste. Il a demandé également que le conseil enlève la première période de question de 15 minutes. Donc pour lui, « DÉFENDRE » le maire Lacombe signifie d’empêcher les citoyens de poser des questions et de cacher aux citoyens la vérité sur les agissements du maire et son équipe! On en croirait presque que son intervention était commandée, soit par le maire ou un de ses conseillers. Si vous regardez la vidéo, vous pouvez très bien voir que le maire donne la parole à Patrick Toutant avant même qu’il ait levé la main. Alors le maire savait très bien ce qui se tramait. Ce que ce citoyen demande se résume en un mot: CENSURE! Il a dit que ça ridiculisait le maire et les citoyens de Ste-Marie-Madeleine. S’il est en colère contre la capsule d’Infoman, hé bien! Qu’il se plaigne au maire Lacombe! Rien n’a été inventé dans cette capsule! Ce n’est que la stricte vérité, et que le maire Lacombe assume ses actions! Il n’avait qu’à ne pas faire des stupidités en assemblée publique. Empêchons les citoyens de le voir tel qu’il est, sauf s’ils sont présents sur place! Voilà la solution aberrante que propose ce citoyen qui s’est déjà lui-même opposé au maire Lacombe en 2009 (Le diable est aux vaches à Sainte-Marie-Madeleine – Le Courrier de St-Hyacinthe). Qu’il se présente donc aujourd’hui pour « DÉFENDRE » le maire Lacombe est très bizarre, et un peu suspect.

Le maire Lacombe, qui a dit sans sourciller à J.E. qu’à Ste-Marie-Madeleine, la magouille est assez rare (voir l’article à ce sujet ici) semble ne pas se rendre compte de ce que c’est que de la magouille! En effet, comme il le faisait par le passé, il a, sans avertir tous les conseillers au préalable, changer l’ordre du jour pour ajouter 2 points. Et ces points favorisaient directement son ami Sylvain Lévesque! L’homme, qui est poursuivit par Sainte-Marie-Madeleine, qui est poursuivit également par des opposants, et qui se fiche éperdument des règlements, a profité des bonnes grâces du maire Lacombe! M. Lévesque avait été absent de plusieurs réunions dernièrement, mais il faut croire qu’il avait été prévenu d’avance, car il était présent cette fois.

Le premier point ajouté était pour présenter un avis de motion pour effectuer un changement d’usage de la zone 203 (en gros, les anciens terrains de LKQ, entre les rues Normand et Millette) qui ajouterait l’usage d’entreprise de déneigement dans cette zone. Il s’est cependant gardé de dire que cet usage ne viendrait pas seul, il s’agirait de déneigement-terrassement dans la zone commerciale où se situait auparavant LKQ. Des voisins immédiats pourraient ne pas être d’accord avec ce qu’implique ce changement.

Ensuite, le maire Lacombe a fait voter une résolution dans le but d’engager un ingénieur pour étudier les travaux et les coûts d’installations d’égouts dans les rues Demers, Normand, Palardy et sans surprise sur la 116. C’est alors que M. Carpentier a rappelé au conseil que la compagnie Aviso était déjà mandatée depuis plusieurs mois pour une somme de $16 000 pour déterminer les priorités à faire dans la paroisse. Pourquoi donner un 2e mandat pour la même chose? Pourquoi payer en double ? Pourquoi ne pas attendre le résultat d’Aviso? Ça tourne pas rond dans la tête du maire! En plus avec cette résolution, il a fait fi d’une pétition de plus de 232 noms contre le fait de faire des égouts sur le Boulevard Laurier avant de faire la rue Demers. Pourquoi cette pétition? Parce que le maire Lacombe voulait passer les égouts sur le Boul. Laurier jusqu’à la rue Millette pour le projet résidentiel de M. Lévesque et que les citoyens de la rue Demers attendent les égouts depuis très longtemps. C’est en effet la plus vieille rue du secteur et certains résidents ont de graves problèmes avec leurs installations septiques. Donc, les citoyens se sont opposés avec raison, et il est normal qu’ils veulent les égouts sur la rue Demers avant d’autres projets.

En regardant tout ça, on a la drôle d’impression que le maire Lacombe veut servir un retour d’ascenseur à M. Lévesque. Mais en retour de quoi? Et cette question en apparence bien anodine ressemble beaucoup à celles qui ont été posées à la commission Charbonneau. Nous n’accusons personne ici, mais la situation est extrêmement délicate, et le maire Lacombe ne s’en rend même pas compte après 36 ans. Lui qui a dit à J.E. « que la magouille était assez rare à Sainte-Marie-Madeleine», on comprend maintenant pourquoi enlever les caméras, et interdire les journalistes serait un gain pour certains.

Prochain rendez-vous le 1er mai 2017!

 

Pourquoi s’arrêter en si bon chemin?

Infoman a sévi de nouveau ce 13 avril 2017, en présentant à nouveau le cirque qu’est devenu les séances du conseil de Sainte-Marie-Madeleine. Mais cette fois-ci, en plus du maire Lacombe qui continue de se ridiculiser semble-t-il sans même s’en rendre compte, une autre personne était en vedette.

Il s’agit de M. Patrick Toutant, qui a fait tout un show lors du début de la réunion du 3 avril 2017. Infoman ne s’est pas gêné pour tourner en ridicule des menaces bourrées de fautes envers l’émission faites par M. Toutant suite au reportage du 24 mars 2017. Le show de M. Toutant découle de ses demandes pour interdire les caméras, téléphones, tablettes, tous les genres d’enregistrements ainsi que les journalistes dans les réunions du conseil! Voilà une façon assez spectaculaire d’être tourner en dérision et de faire affront à la démocratie la plus élémentaire!

Pour écouter l’émission d’Infoman, cliquez ici : http://infoman.radio-canada.ca/emission/2017/04/14/infoman-municipal-partie-3/

Plus fou que ça…

Sainte-Marie-Madeleine a eu droit à un honneur peu enviable, en étant la municipalité présentée lors de la section Infoman Municipal de l’émission Infoman du 23 mars 2017. Qui a volé la vedette? Le maire Lacombe bien sûr! Le montage fait par l’équipe d’Infoman dresse un portrait peu flatteur de celui qui dirige Sainte-Marie-Madeleine depuis trop longtemps. Le maire Lacombe s’est couvert de ridicule à la télévision publique sur une heure de grande écoute! Comme moyen de perdre le peu d’estime que ses partisans lui portent encore, le maire Lacombe ne pouvait pas faire mieux!

Pour écouter l’émission d’Infoman, cliquez ici : http://infoman.radio-canada.ca/emission/2017/03/24/ste-marie-madeleine-priez-pour-nous/

Réunion extraordinaire du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 13 mars 2017 : le cirque en folie!

La réunion extraordinaire du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 13 mars 2017 a été demandé pour approuver la nomination comme nouvelle directrice générale Mme Lucie Paquette, qui était déjà la secrétaire-trésorière de la municipalité. Et surprise! La réunion a été non seulement un vrai cirque comme plusieurs réunions l’ont été depuis plus de 2 ans, mais cette fois on peut même dire que le cirque était en folie !

D’abord, il est important de faire un rappel en arrière pour bien comprendre ce qui s’est passé. L’ancienne directrice générale, Mme Ginette Daigle, qui avait engagé Mme Paquette (son ancienne collègue lorsqu’elles travaillaient toutes deux à la municipalité de St-Valérien de Milton), a vu son contrat d’emploi rompu à la réunion extraordinaire du 19 janvier dernier. Une histoire de plainte d’harcèlement faite par Mme Daigle contre les 4 conseillers indépendants avait été au coeur de cette autre controverse du maire Lacombe. Vu le départ de Mme Daigle, le poste de directeur-général devait être comblé. Ensuite, rappelez-vous que les 2 dernières directrices-générales ont quittés dans la controverse, et que chacune avait été promue à ce poste. Il était évident que du sang neuf venant de l’extérieur était requis.  On pouvait donc s’attendre qu’avec le changement de dynamique au conseil, un processus transparent et rigoureux aurait été mis en place pour trouver un nouveau directeur-général. Ce ne fut pas le cas, et c’est à ce moment que la réunion a dégénérée.

On a donc appris que le comité en place formé des conseillers Chantal Bernatchez, Lise Cadieux et Daniel Choquette, les responsables qui devaient s’occuper du remplacement de la directrice-générale, ne savaient pas qu’est-ce qu’une compétence ? La question « Quelle compétence demandiez-vous pour le poste de directeur-général ? » a été posée à plusieurs reprises et personne n’a été capable de répondre… C’est flagrant que ce comité n’est pas compétent et que ses membres auraient dû demander de l’aide d’une firme extérieure. Mais non! Ils ont recommandé l’embauche de Mme Paquette, au lieu d’aller chercher une personne diplômée, et surtout indépendante de l’influence malsaine du maire Lacombe. On pourrait croire à une malédiction qui se répète sans fin. On n’engage personne de l’extérieur, seulement des personnes qui changent de chaises. Y’a-t-il des secrets à préserver ? Une personne de l’extérieur trouverait-elle un secret bien gardé, et pourrait le dévoiler ?

Sur 22 candidats, le comité en a rencontré seulement 4 pour terminer avec Mme Paquette. Quelle mascarade d’avoir fait une ouverture de poste bidon pour terminer avec la personne qui comblait déjà le poste de directrice-générale en remplacement de Mme Daigle. D’ailleurs, les conseillers ont dû voter une résolution pour obliger Mme Paquette à remplacer Mme Daigle durant son absence, chose qui faisait déjà parti de ses fonctions de secrétaire-trésorière adjointe… alors pourquoi ?

Et ce n’est pas tout! En effet, Gilles Carpentier a sorti de son cartable un article de journal datant de 1989 (il s’agit de cet article : Reconnue coupable, elle devra remettre la somme de 11 800$ – Le Courrier de St-Hyacinthe). Il y est indiqué que Lucie Paquette avait été reconnu coupable de s’être accordée une “augmentation” de salaire sans l’aval du conseil de St-Valérien-de-Milton, son employeur de l’époque! Scandaleux n’est-ce pas? Mais pas pour tout le monde!

Les hauts cris de Patrice Barbot, qui a rétorqué que ça datait de plus de 30 ans, ne changent rien aux faits. Une personne sensée et intègre n’approuverait jamais l’embauche comme directeur-général d’une personne avec un tel antécédent judiciaire! Ne devrait-on pas être plus pointilleux quand on gère l’argent d’autrui que son propre argent? Pas selon les conseillers Patrice Barbot, Chantal Bernatchez, Lise Cadieux, Daniel Choquette et le maire Lacombe. Comment se fait-il que Mme Paquette ait été engagée la première fois, il y a 3 ans comme secrétaire-trésorière avec un antécédent pareil? C’est évident que ceux qui l’ont embauchée la première fois ont bâclé le travail, et qu’ils n’ont pas fait mieux cette fois-ci. Une citoyenne leur a dit qu’elle était très déçue de la façon qu’ils ont fait les choses et tous les citoyens présents ont applaudis.

Au début du mois à la réunion du 6 mars, on accordait à Mme Paquette une augmentation de salaire de 25% pour son poste de secrétaire-trésorière, et maintenant on lui donne le poste de directrice générale! On dirait que certains élus n’en ont rien à foutre des décisions qu’ils prennent tant qu’ils ont leur chèque à chaque mois, ils peuvent jeter l’argent des citoyens par les fenêtres. Un tel salaire doit être justifié par des diplômes ! Chantal Bernatchez et Daniel Choquette ont dit qu’elle avait plus de travail… Comment peut-on travailler plus quand on ne fait pas plus d’heures ? Daniel Choquette, qui était pourtant sur le comité rappelez-vous, ne semblait pas trop au courant de ses dossiers, car il parlait de 35 heures semaine, pour ensuite apprendre que c’était 32 heures semaine! Cela porte à croire qu’elle n’avait pas assez de tâches pour occuper son temps avant.

Et malgré tout ça, par un vote de 4 contre 3, le projet de contrat a été approuvé! Aux citoyens qui se posent la question, voici les conseillers qui sont responsable d’avoir approuvé cette infamie, démontrant leur peu de considération et de respect pour ceux qui les ont élus : le maire Lacombe bien sûr, les conseillers Patrice Barbot et Chantal Bernatchez sans surprise, mais aussi la conseillère Lise Cadieux. Dans ce dernier cas, on peut donc parler d’un retournement de veste de la part de cette personne qui a appuyé Gilles Carpentier pour qu’il soit élu (voir 3 conseillers appuient Gilles Carpentier). On aurait pu croire, qu’après s’être dissociée de l’équipe du maire Lacombe, elle avait enfin compris son rôle: celui de représenter les intérêts des citoyens. Il semble bien que non, et par son manque de jugement absolument sidérant, elle vient de redonner le pouvoir au maire Lacombe. De ce fait, les citoyens se retrouvent de nouveau en otages de décisions arbitraires et contraires au sens commun de ce dernier. Les prochaines élections sont pour novembre 2017. Les citoyens se rappelleront du nom de Lise Cadieux lorsqu’ils iront voter, pour choisir quelqu’un d’intelligent et de plus clairvoyant pour la remplacer définitivement.

Un dernier mot en terminant sur le conseiller Daniel Choquette, «la girouette », dont la rumeur dit qu’il veut se présenter comme candidat à la mairie aux prochaines élections. Celui-ci tente manifestement de faire plaisir à tout le monde dans le but d’avoir des votes, mais sans se préoccuper du vrai rôle qu’il doit jouer, bien administrer la municipalité en étant conseiller avant tout. Il faudra se rappeler de ne pas voter pour lui aux prochaines élections.

 

Que de chemin parcouru!

Sainte-Marie-Madeleine a été dans l’actualité ces dernières semaines. D’abord, pour la fin de l’entente avec l’OTJ. Mais surtout, pour le vote sur l’étude d’une possible fusion avec Sainte-Madeleine lors de la réunion du 6 février 2017. Voici d’abord une entrevue de Gilles Carpentier, conseiller, à TV Cogeco, et ensuite les articles publiés dans différents journaux :

Les loisirs à Sainte-Marie-Madeleine – L’OTJ Desnoyers sur la touche – Le Courrier de Saint-Hyacinthe

Regroupement avec Sainte-Madeleine – Sainte-Marie-Madeleine à nouveau interpelée – Le Courrier de St-Hyacinthe

La Rose – Le Courrier de St-Hyacinthe

L’OTJ Desnoyers – la paroisse de Sainte-Marie-Madeleine tire la plogue – Le Clairon de Saint-Hyacinthe

Sainte-Marie-Madeleine demande l’étude de fusion avec le Village – Le Courrier de Saint-Hyacinthe

Des mamours – Le Courrier de Saint-Hyacinthe

Force est de constater que la mainmise du maire Lacombe sur Sainte-Marie-Madeleine est sur une forte pente descendante. Mais n’allez pas vous imaginer que ça s’est fait tout seul. C’est le fruit du travail des opposants qui ont travaillé d’arrache-pied depuis le début de la controverse du garage de la honte en 2014 (voir un des premiers articles à ce sujet ici) tel que mentionné par Martin Bourassa dans son plus récent éditorial (Des mamours – Le Courrier de Saint-Hyacinthe). Malgré que le maire et certains de ses partisans ont tout essayé pour faire passer les opposants pour des méchants, bloquant tout avancement dans la municipalité, allant même jusqu’à les traiter de “terroristes” et les surnommant maintenant “LE RÉGIME”, les opposants, déterminés à faire connaître la vérité sur l’administration du maire Lacombe, n’ont jamais cessés de se battre, pas seulement pour leur cause, mais pour toute la communauté. C’est leur travail qui a entre autre permis l’élection de Gilles Carpentier, et qui a par le fait même renversé le pouvoir de force du maire Lacombe qui n’en décolère pas depuis. Le vote sur l’étude pour une faisabilité de fusion n’aurait pas pu se faire sans leur travail. Grâce à eux, les citoyens peuvent entrevoir des jours meilleurs, débarassé de l’inflexible maire Lacombe. Soyons fier du chemin parcouru!

Réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 6 mars 2017 : les citoyens encore pris en otage

Plus ça change, et plus c’est pareil à Sainte-Marie-Madeleine, il faut croire. En effet, la réunion du 6 mars 2017 a été le théâtre d’affrontement entre les opposants et le maire Lacombe. Le principal sujet de discorde a été le contrat de travail de la secrétaire trésorière, Mme Lucie Paquette, qui a reçu une augmentation de 25% de sa rémunération! Oui, oui, vous avez bien lu : 25% d’augmentation! Tout ça dans un contexte où la municipalité fait des déficits depuis 3 ans!

Comme c’est le cas de plusieurs sujets à Sainte-Marie-Madeleine, de fausses informations circulent, et certains croient que c’est une augmentation de l’ensemble des employés du bureau municipale qui totaliserait une augmentation de 25%. FAUX! D’autres se sont laissés dire qu’elle avait une augmentation de 25 % parce qu’elle remplaçait la directrice générale. Et bien NON! Cette augmentation de 25 % est seulement pour elle, pour le poste de secrétaire-trésorière, et pas non plus parce qu’elle n’avait pas été augmentée depuis longtemps. Quand elle remplace la directrice-générale, elle a le même salaire que celle-ci. Elle devait retourner à son ancien poste de secrétaire-trésorière, et c’est pourquoi on lui a accordé une augmentation de salaire de 25%. La municipalité ne lui devait donc rien d’autre qu’une augmentation normale suivant l’inflation de la vie. Certains comparent le salaire des secrétaires-trésorières des autres municipalités et disent que ce n’est pas le plus gros salaire, mais attention, il faut comparer des pommes avec des pommes. Il faut tenir compte de la taille de la ville et des diplômes de l’employée en question. Si on regarde bien tout le contexte ici, 25% c’est inacceptable. Mais vu que c’est l’argent des citoyens, et qu’on ne répondra pas à leurs questions, on s’en fout royalement. De toute façon ce ne sont que des payeurs de taxes, ils n’ont qu’à payer et ne rien dire, parce que s’ils insistent pour avoir des réponses à leurs questions, ils passent pour des gens irrespectueux. Le respect se mérite, il n’est pas donné, et ce n’est pas avec ce genre d’attitude hautaine que le maire Lacombe et ses alliés au conseil vont obtenir le respect qu’ils croient avoir droit.

Ainsi donc, encore un bel exemple de gestion broche à foin de la part du maire Lacombe et des conseillers Patrice Barbot, Chantal Bernatchez, mais aussi, Lise Cadieux et Daniel Choquette qui ont tous voté également pour ça! Les directeurs de Bombardier pourrait en être jaloux !

Prochain rendez-vous le 3 avril 2017!