Archives de catégorie : Réunion

Réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 7 décembre 2015 : le maire Lacombe se fait servir sa propre médecine

Pour une rare occasion au cours des derniers mois, la séance du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 7 décembre 2015 fut courte, et menée rondement. Ce qui n’a pas empêché le maire Lacombe de pratiquer ses deux sports préférés, soit se plaindre que tout est bloqué à Sainte-Marie-Madeleine, bien qu’il n’a pas de leçons à donner à personne dans ce domaine, et d’affirmer tout et n’importe quoi sans apporter la moindre preuve.

Procès-verbal – 7 décembre 2015

Dû aux changements dans le rôle d’évaluation, les terres agricoles de la municipalité vont subir une hausse d’environ 40% de taxe foncière. Les agriculteurs présents ont fait savoir leur inquiétude au maire Lacombe devant cette situation, et ont parlé d’une solution qui permettrait d’étaler la hausse. Le maire Lacombe s’est abstenu de discuter de ce sujet en invoquant un conflit d’intérêt. Voilà une réponse facile à dire, et un nouveau manque de volonté de la part du maire Lacombe de vouloir répondre aux problèmes des citoyens. C’est pourtant pour ça qu’il a été élu!

Le dossier des loisirs a été repoussé en janvier, étant donné que les membres du conseil n’avaient pas en main les chiffres des prévisions de l’OTJ Desnoyers pour 2016. D’ailleurs, la proposition pour une entente avec Sainte-Madeleine pour les loisirs est toujours sur la table, et le conseil devra éventuellement faire un choix à ce sujet.

Un dernier point qui fut ajouté au varia, et qui a mit le maire Lacombe en beaux fusils, fut de faire une résolution pour que les avocats communiquent toutes les informations, en même temps qu’au maire et la directrice générale, à deux conseillers indépendants pour être au courant de toutes les causes pendantes de Sainte-Marie-Madeleine. Le maire Lacombe a bien évidemment signifié son intention de mettre son veto sur cette résolution. Cela a mit en lumière encore une fois le style autoritaire du maire Lacombe et son peu de transparence envers les conseillers et les citoyens. Surtout que c’était le style du maire Lacombe dans la passé d’apporter des points à la dernière minute pour faire adopter des résolutions sans permettre aux conseillers de prendre le temps d’y réfléchir. Il s’est donc fait servir sa propre médecine.

Et les partisans du maire dans tout ça? Et bien, ils furent très discrets, ce qui fut un changement salutaire par rapport à la dernière réunion.

La réunion aura donc permis de faire d’autres avancées pour les citoyens. Le maire Lacombe serait mieux de se faire à l’idée, lui qui ne cherche qu’à garder son pouvoir sur Sainte-Marie-Madeleine sans se préoccuper des citoyens.

Prochaine réunion du conseil le 11 janvier 2016!

Réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 9 novembre 2015 : le maire Lacombe face à ses contradictions

La réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 9 novembre 2015 ne fut pas ajournée comme celle du 2 novembre 2015. En effet, la directrice générale a finalement fournit plus de détails sur les points à l’ordre du jour tel que voté majoritairement par le conseil, et la réunion a pu aller de l’avant. Cela n’a pas empêché le maire Lacombe et son équipe de se faire reprocher sans détour par les citoyens présents leurs nombreuses contradictions précédentes et présentes, et ses partisans les ont notamment eux-mêmes mis dans l’eau chaude!

Procès-verbal – 5 octobre 2015

L’ordre du jour de la réunion fut fort chargé, et de multiples sujets ont été abordés. Le maire Lacombe a de plus plusieurs fois mentionné qu’il mettrait son veto sur des résolutions votées, ce qui est dans son habitude. Mais le plus dérangeant est que le maire Lacombe a affirmé vouloir mettre son veto sur une résolution lui enjoignant de faire exécuter les résolutions du conseil, ce qui est une obligation pour le maire selon les articles 142.1 et 142.2 du Code municipal du Québec! C’est assez grave que le conseil doive demander ainsi au maire de faire son travail tel que la loi l’exige!

Un mandat a été donné à Therrien Couture pour défendre la municipalité dans une poursuite en nullité déposé contre elle. Le maire Lacombe a répondu que c’était en rapport avec le garage de la honte à une question d’un citoyen à ce sujet, mais sans donner plus de détails.

L’organisation des loisirs de Sainte-Marie-Madeleine a été discuté, et les prévisions 2016 n’ont pas été approuvé, de même qu’une rencontre va être organisé avec Sainte-Madeleine pour voir si une organisation commune des loisirs est possible, et à quel coût. Le conseiller Patrice Barbot a évidemment rétorqué que Sainte-Marie-Madeleine paierait 70% des coûts pour 30% d’utilisation par les citoyens. Assez étrange comme affirmation, sachant que Sainte-Marie-Madeleine paye 100% pour ses loisirs actuellement, et qu’en plus un projet de construction de centre communautaire est dans les airs, alors que Sainte-Madeleine a déjà toutes les infrastructures! Un citoyen lui a alors lancé à M. Barbot que les chiffres qu’il avançait étaient du passé, qu’on devait laisser les conseillers indépendants vérifier ce qui pouvait être fait, car eux regardaient vers l’avenir.

Malgré un avertissement en ce sens lors de la réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 5 octobre 2015, le propriétaire du garage de la honte a voulu intervenir en dehors des périodes de question. Un citoyen a à chaque fois invoquer un point d’ordre, car le maire Lacombe ne faisait rien du tout pour faire taire le propriétaire du garage de la honte tel que lui-même l’exigeait. Encore une fois le maire Lacombe montre son favoritisme envers ses partisans, de plus qu’il a affirmé que le propriétaire du garage de la honte pouvait entreposer le sel pour le déneigement sur son terrain, alors que Sainte-Marie-Madeleine le poursuit pour faire démolir son abri à sel!

Le père du propriétaire du garage de la honte a demandé s’il était possible que le conseil puisse enregistrer et diffuser lui-même les séances du conseil. M. Gilles Carpentier lui a alors parlé d’une compagnie qui offrait effectivement ce genre de service, et que la demande de faire installer le dispositif, suggéré par M. Carpentier lui-même, avait été refusé par le maire Lacombe lui-même! Mais le maire Lacombe, qui n’est pas à une contradiction près, a accepté la suggestion venant de son partisan! Le maire Lacombe fait ici la girouette selon que la suggestion vient des conseillers indépendants, ou qu’elle provienne de ses amis que sont le propriétaire du garage de la honte et son père, tel qu’il l’a affirmé!

À la fin de la réunion, le père du propriétaire du garage de la honte a déclaré avoir lu le code de déontologie de la municipalité, et que plusieurs conseillers étaient en infraction vis-à-vis celui-ci. Bien évidemment, l’allusion semblait diriger vers les conseillers indépendants, alors que c’est le maire Lacombe qui se moque complètement des citoyens et du conseil en n’en faisant qu’à sa tête. De plus, cette allusion est bizarre de la part d’un homme dont le fils méprise ouvertement les règlements municipaux de Sainte-Marie-Madeleine.

Prochaine réunion du conseil le 7 décembre 2015!

Réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 2 novembre 2015 : le maire Lacombe se moque du conseil

La réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 2 novembre 2015 aura été la plus courte depuis le début de la controverse du garage de la honte. Et ce ne fut pas à cause d’échaffourés qui ont nécessité une présence policière comme lors des réunions du 1er décembre 2014 ou du 12 janvier 2015, bien au contraire.

Lors de la réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 5 octobre 2015, le conseil avait majoritairement voté pour que l’ordre du jour soit préparé en démontrant tous les points et toutes les informations nécessaires pour pouvoir se prononcer, et distribué aux conseillers le jeudi précédant la réunion du conseil (point 6.4, Procès-verbal 5 octobre 2015). Or, la secrétaire d’assemblée, Mme Ginette Daigle, également la directrice générale de la municipalité, a refusé de préparer l’ordre du jour tel que demandé par le conseil, appuyé en cela par le maire Lacombe. Devant ce constat, les conseillers indépendants ont donc ajourné la réunion pour laisser le temps à la directrice générale de compléter l’ordre du jour selon les directives du conseil.

Les partisans du maire, incluant le propriétaire du garage de la honte ainsi que l’ancienne directrice générale, ont reproché aux  conseillers indépendants leurs agissements. L’ancienne directrice générale, malgré son devoir de réserve en tant qu’ancienne employéee de Sainte-Marie-Madeleine, a maintes fois invoqué la loi pour argumenter que les conseillers indépendants étaient dans le tort. Cet argument est fallacieux, car selon la loi, le maire Lacombe DOIT faire exécuter les directives du conseil (article 142.1 et 142.2 du code municipal du Québec). En ne faisant pas respecter les directives du conseil à la directrice municipale, le maire Lacombe a manqué à ses fonctions de maire, et à fait preuve d’un manque de respect flagrant envers le conseil de Sainte-Marie-Madeleine, envers les citoyens, et envers la loi. Le maire Lacombe, qui s’est maintes fois targuer de respecter la loi, doit faire un sérieux examen de conscience, car cette fois les faits lui donnent tort sur toute la ligne.

Notez que la réunion est censé être remise à lundi prochain le 9 novembre 2015, à moins que les amis consultants du maire ne demandent un changement de programme.

Réunion extraordinaire du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 8 octobre 2015 : soudainement il y avait urgence!

La réunion extraordinaire du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 8 octobre 2015 a démontré que la gestion de la municipalité par l’administration Lacombe est vraiment étrange, pour ne pas dire troublante.

Procès-verbal (séance extraordinaire) 8 octobre 2015

La réunion a eu lieu pour approuver la réparation des pompes aux postes de pompage SP1, SP2 et SP3, de même que d’analyser les pompes de soutien à ces 3 mêmes stations. Tous les points furent adoptés par résolution, sans vote, et sans véto du maire Lacombe, ce qui est rare lorsque Sainte-Marie-Madeleine doit dépenser pour le bien des citoyens. Le coût total des réparations aux pompes des 3 postes s’élèvera à 11 538,09$ (3 326.22$ pour SP1, 4 022.35$ pour SP2, 4 189.52$ pour SP3), le tout excluant la mise en route, l’installation et les taxes.

Que les réparations aux pompes aient été autorisées n’a en soit rien d’exceptionnel. C’est plutôt le pourquoi de cette réunion qui est troublant.

Vous rappelez-vous de la controverse au sujet du rattachement de la cabane Tétreault avec les égoûts de Sainte-Marie-Madeleine, en plus des maisons dans un nouveau développement domiciliaire sur la rue Noiseux? Le maire Lacombe avait déclaré que les pompes étaient tout à fait capable de prendre le surplus d’eaux usées, et que les dites pompes fonctionnaient parfaitement. Les conseillers indépendants ont voulu rester prudents, en demandant une inspection des pompes avant de dire oui aux demandeurs, car s’ils auraient dit oui comme le maire voulait sans précautions, ce sont encore les citoyens qui auraient été pris pour payer pour les futurs problèmes. Et qu’arrive-t-il 5 mois plus tard? Après avoir reçu l’état des pompes, le maire Lacombe convoque une réunion extraordinaire pour faire RÉPARER les pompes qui fonctionnaient, à ses dires, à merveille. On ne parle pas ici d’entretien, mais de réparation!

Le maire Lacombe, par ses actions, contredit ses affirmations des mois d’avril et de mai 2015, et montre au grand jour son double discours sur sa gestion de Sainte-Marie-Madeleine, selon qu’il s’adresse aux opposants ou à ses partisans. En plus, il ose se plaindre que plus rien ne va à Sainte-Marie-Madeleine depuis l’arrivé au conseil de Gilles Carpentier! Le maire Lacombe manque carrément  de décence, et s’obstine à vouloir faire obstruction à toute amélioration pour les citoyens, incluant l’entretien des installations municipales! Heureusement que les conseillers indépendants ont insisté pour faire vérifier l’état des pompes dans les stations de pompage. Les citoyens de Sainte-Marie-Madeleine ont enfin des gens qui travaillent pour l’intérêt de la ville et de ses citoyens, ces derniers étant mieux servis depuis les 6 derniers mois que depuis les 35 ans du règne du maire Lacombe.

Réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 5 octobre 2015 : le maire Lacombe ne respecte pas ses propres règles

La réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 5 octobre 2015 a été marquée par des changements dans la procédure de la réunion. D’abord, une période de question a été ouverte au début de la rencontre en plus de celle de la fin, une nouveauté pour l’administration Lacombe qui n’a pas l’ habitude de répondre clairement aux questions des citoyens. Ensuite, un varia a été ajouté à l’ordre du jour. D’entrée de jeu, le maire Lacombe a fait une mise au point en déclarant que le silence devait régner pendant toute la réunion. Il est très malheureux de constater que cette déclaration solennelle n’a pas été respectée et que de nombreuses interventions de citoyens partisans du maire ont été tolérées. Encore une fois, ce dernier montre que ses partisans sont plus importants que les autres citoyens.

Procès-verbal 5 octobre 2015

La réunion aura permis de faire certaines avancées. D’abord, une étude exhaustive de toutes les installations septiques de Sainte-Marie-Madeleine sera réalisée, au grand dam du maire qui a affirmé que cela avait déjà été fait dans le quartier Douville (petite portion de la municipalité), et que la municipalité n’en avait pas besoin. Les conseillers indépendants lui ont alors fait savoir que Sainte-Marie-Madeleine était l’une des dernières municipalités à ne pas l’avoir fait.

L’autre point fut d’entamer des discussions avec le village de Sainte-Madeleine pour voir si une nouvelle entente avec les loisirs pouvait être envisageable, et évidemment à quel coût. Le maire Lacombe, de même que le responsable de l’OTJ Desnoyers, ont vertement critiqué l’initiative des conseillers indépendants. La question des coûts a été discutée, le responsable de l’OTJ clamant qu’un retour avec le village coûterait plus cher. Bien entendu, ces chiffres ne sont basés sur aucun document vérifiable. On doit par conséquent les prendre avec un gros grain de sel.

Finalement, le conseil a autorisé l’installation de 13 nouvelles borne-fontaines et de 5 valves dans le Domaine Huron. Ces améliorations devraient améliorer la sécurité des citoyens du Domaine Huron, ce qui est une excellente nouvelle considérant le laxisme dont a fait preuve l’administration Lacombe à cet égard.

Prochaine réunion du conseil le 2 novembre 2015!

Réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 14 septembre 2015 : le maire Lacombe déconnecté de la réalité

La réunion du 14 septembre 2015 fut une réunion assez tranquille malgré tout. Une foire d’empoigne entre le maire est les conseillers indépendants au début du conseil a montré une fois de plus l’intransigeance déplacé du maire Lacombe, mais surtout qu’il est de plus en plus déconnecté de la réalité de la situation dans laquelle il se trouve. À vous d’en juger dans la vidéo ci-dessous. Un compte-rendu détaillé sera disponible sous peu.

Procès-verbal – 14 septembre 2015

Prochaine réunion du conseil le 5 octobre 2015!

Réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 10 août 2015 : le gros bon sens l’emporte

La réunion du conseil du 10 août 2015 aura permis de constater qu’encore une fois, le maire Lacombe à plus à coeur les intérêts de certains de ses partisans que la sécurité des citoyens du domaine Huron. En effet, il n’a pas insisté sur la demande d’ajout de borne-fontaines, et il a plutôt laissé ses partisans essayer de démolir cette demande. Heureusement, tous les conseillers ont fait la seule chose raisonnable et sensé, et ils ont usé de leur gros bon sens en acceptant cette demande d’ajout de borne-fontaines.

Première partie

Deuxième partie

Procès-verbal 10 août 2015

Le gros bon sens ne s’est pas arrêté aux bornes-fontaines. Une demande a été déposée pour dézoner une partie du terrain de LKQ, prolonger les égouts sur la 116 pour desservir ce terrain et exempter la taxe de bienvenue sur l’achat d’un bâtiment prévu pour être démoli. Le promoteur avait dans ses plans de laisser les 300 premiers pieds en zone commercial, et sur le reste du terrain d’y faire construire 15 à 20 maisons de style condo. Le maire et ses partisans étaient très en faveur de ce projet, mais certains citoyens ont battu en brèche leur enthousiasme. Premièrement, de l’aveu même du maire suite à une question d’un citoyen, le terrain de LKQ est le dernier terrain commercial de la municipalité. Dézoner ce terrain pour y construire des maisons reviendrait donc à couper dans les espaces commerciaux de la municipalité afin de servir les intérêts d’un promoteur. Pourquoi prendre des terrains résidentiels pour les zoner commercial comme en 2014, et ensuite prendre des terrains commerciaux et les zoner résidentiel? Encore une fois, on peut constater l’arrogance de l’ignorance du maire, car il fait du favoritisme envers les mêmes citoyens pensant que personne ne s’en apercevra ? Posez-vous la question, pourquoi ce favoritisme alors que ces citoyens montrent un mépris envers les règlements de la municipalité? Cette position complètement déraisonnable montre la vision à très court terme du maire Lacombe.

Le projet de ce développement avait été dévoilé aux citoyens par Lise Chartier à l’automne 2014, alors qu’elle avait convoqué les résidants de Sainte-Marie-Madeleine à une réunion de citoyens pour les informer de ce qui se passait à leur insu dans la municipalité. Si Mme Chartier n’aurait pas déclaré haut et fort les anomalies de l’ancienne administration Lacombe, vous pouvez être certain que les égouts auraient été installés sans demander l’avis de personne avec l’argent des citoyens pour accommoder certains, tandis que d’autres payeurs de taxes avaient besoin de lampadaires et de l’eau dans les bornes-fontaines pour la sécurité commune. Les conseillers indépendants travaillent très fort présentement pour TOUS les citoyens, pas seulement pour certains, et c’est ce qui en frustre quelques-uns.

Ensuite, le propriétaire du garage de la honte et son père ont fait une fixation sur le prolongement des égouts qui permettrait ce développement résidentiel. Ils ne se gênaient pas du tout pour remettre toujours de l’avant ce projet, en même temps qu’ils essaient de faire croire que ce projet est maintenant celui de quelqu’un d’autre. Pourquoi donc tous les camions du propriétaire du garage de la honte sont-ils stationnés sur le terrain de LKQ? C’est eux depuis le début qui travaillent de pair avec le maire pour ce projet. Pendant ce temps les citoyens du domaine Huron, eux, sont inquiets pour leur sécurité à cause du problème de débit d’eau dans leurs bornes-fontaines, problème qui existe depuis 25 ans au moins selon l’ancien responsable des travaux publics. Ce problème n’est pas dispendieux à résoudre et il a été mentionné à plusieurs reprises. Le maire a préféré ignorer ce problème plutôt que d’y remédier.

Le conseiller Daniel Choquette, usant de son gros bon sens, a parfaitement résumé la position des conseillers indépendants, en indiquant que les égouts n’étaient pas pressants. Les conseillers indépendants ont aussi proposé de faire une étude des fosses septiques partout sur le territoire de la municipalité, comme toutes les municipalités doivent le faire suite à la demande du gouvernement, ce qui a fait fulminer le propriétaire du garage de la honte et son père.

Finalement, l’exemption de la taxe de bienvenue a aussi été refusée, mais pour une raison beaucoup plus simple : ce n’est pas légal de le faire. En effet, une municipalité ne peut pas accorder de crédit sous aucune forme pour un nouveau développement domiciliaire (voir à ce sujet cette article dans La Presse : http://www.lapresse.ca/actualites/201508/05/01-4890455-credits-de-taxes-quebec-rappelle-les-municipalites-a-lordre.php).

La réunion aura permis de confirmer le dépôt de la poursuite contre le propriétaire du garage de la honte, qui a été retardé suite au véto du maire sur cette question. Le propriétaire du garage de la honte de même que son père ne se sont d’ailleurs pas gêné pour taper sur la tête du conseiller Gilles Carpentier tout au long de la soirée, au grand plaisir du maire Lacombe. Le problème de ces attaques, c’est que M. Carpentier n’est conseiller que depuis le 29 mars 2015, soit environ 5 mois. Le maire Lacombe est maire depuis 35 ans. C’est donc lui qui doit se faire taper sur la tête pour les problèmes qui surviennent aujourd’hui, ce que font les opposants depuis le début de la controverse. L’aveuglement volontaire des partisans du maire Lacombe envers ses dérives et contradictions montre que malheureusement, les partisans du maire défendent leurs propres intérêts en premier au détriment de ceux des citoyens. Et qu’il s’agit là de quelque chose de très malsain.

Prochaine réunion du conseil le 14 septembre 2015!

Réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 1er juin 2015 : les conseillers indépendants solidaires!

Depuis les mois que dure la saga du garage de la honte, l’administration Lacombe fait face au feu nourri de l’opposition, en plus d’avoir à faire face aux conseillers indépendants majoritaire au conseil. Lors de la réunion du conseil du 1er juin 2015, l’exaspération de certains citoyens devant la nouvelle dynamique du conseil mené par les indépendants, notamment en matière de transparence, s’est fait sentir. Ces derniers travaillent d’arrache-pied pour prendre les meilleurs décisions possibles en s’appuyant sur tous les documents et données nécessaires. Les dossiers bougent à Sainte-Marie-Madeleine avec les conseillers indépendants, et ce, dans le meilleur intérêt des citoyens.

1re partie

2e partie

Procès-verbal – 1er juin 2015

Prochaine réunion du conseil le 6 juillet 2015!

Réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 4 mai 2015 : le chat sort du sac!

L’administration Lacombe ne peut plus dire que tout est bloqué à Sainte-Marie-Madeleine. Heureusement pour les citoyens, les choses bougent, mais peut-être pas dans le sens voulu par le maire Lacombe! L’assemblée fut chargée, haute en couleurs, et pleine de rebondissements, comme vous pourrez le voir dans les vidéos ci-dessous.

1re partie

2e partie

3e partie

4e partie

Procès-verbal – 4 mai 2015

Procès-verbal de correction – 4 mai 2015

La réunion a commencé plus tôt pour permettre l’assemblée publique sur la modification demandée par un propriétaire d’avoir plus de véhicules stationnés sur son terrain.

Ensuite, lors de la lecture de la correspondance, une surprise attendait les citoyens. Un document a été déposé par la directrice générale concernant les installations septiques, à la demande des conseillers selon ses dires. Ce document avait été demandé clairement dans la demande d’accès à l’information envoyé par les opposants. La réponse de l’administration à cette question? Dossier inexistant! Et soudainement, il apparaît au conseil, et il date de 2013! Pourquoi ce document apparaît maintenant, alors qu’il n’existait pas quelques mois plus tôt? Voilà un exemple typique de la culture du secret de l’administration Lacombe. C’est justement ce genre d’attitude qui est dénoncé par les opposants, mais ça n’a pas l’air de déranger le maire Lacombe

Au sujet de l’avis d’infraction de la pancarte installée par les opposants, le conseil a voté pour arrêter les procédures, encore une fois. Idem pour la poursuite engagée contre Girma, le conseil a voté pour arrêter les procédures en cour supérieure.

Au sujet de l’abri à sel installé sans permis par le propriétaire du garage de la honte, le conseil a décidé d’aller en cour supérieure sans passer par la cour municipale. Le propriétaire s’est défendu en disant qu’il n’allait pas se laisser faire, que cela allait coûté aussi cher à la municipalité qu’à lui en frais d’avocat, et que s’il avait su que ça causerait problème, il aurait demandé moins de places de stationnement dans la dérogation mineure. Le propriétaire du garage de la honte devrait se rappeler que nul ne peut ignorer la loi, et qu’il a fait construire son abri à sel sans autorisation. Le conseil n’a d’autre choix devant son refus de se conformer que de prendre les moyens pour faire respecter la réglementation.

Le dossier des égouts pour la cabane Tétreault a connu un dénouement. Le conseil a autorisé le raccordement de la cabane, mais pas des maisons. Le propriétaire était très mécontent, et a demandé d’avoir par écrit la raison du refus, pour qu’il puisse vérifier si le conseil peut s’opposer au raccordement des maisons. Les conseillers ont répliqué qu’ils ne voulaient pas qu’un propriétaire privé puisse gérer des égouts à Sainte-Marie-Madeleine.

Les nouveaux pompiers ont été engagés suite à la résolution du conseil lors d’une précédente réunion. Un point a été soulevé par une citoyenne à savoir pourquoi un directeur adjoint avait été engagé, alors que la résolution lors de la précédente réunion ne le permettait pas. La réponse du maire a été évasive, et personne n’a vraiment compris pourquoi, ce qui n’est pas de nature à améliorer la transparence de l’administration Lacombe.

Prochaine réunion du conseil le 1er juin 2015!

Réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 13 avril 2015 : changement de dynamique

C’étais la première réunion du conseil municipal depuis l’élection de Gilles Carpentier au siège #3. Les opposants attendaient beaucoup de cette première réunion où l’administration Lacombe se retrouvait minoritaire pour la première fois à une réunion du conseil. Comparativement aux précédentes réunions, celle-ci fut plus calme, mais les opposants n’ont pas relâché la pression sur l’administration Lacombe.

1re partie

2e partie

En début de réunion, il y a eu adoption du procès verbal de la réunion extraordinaire du 19 mars 2015. Un citoyen a invoqué un point d’ordre disant qu’aucune réunion n’avait eu lieu, et donc qu’aucun procès-verbal ne pouvait être adopté. Le maire a répondu qu’il s’était informé auprès du ministère des affaires municipales, et que c’était ce qu’il devait faire.

M. Gilles Carpentier a fait sentir sa présence en n’hésitant pas à questionner la directrice générale sur les comptes à payer du mois passé. C’est notamment grâces aux interventions de M. Carpentier que les citoyens ont pu apprendre que le bulletin spécial de janvier 2015 avait coûté 2838,41 $ en frais d’avocat à la municipalité. De plus, les réponses à la demande d’information des citoyens représentés par Lise Chartier, qui contenait 18 questions, a coûté 3758 $ à la municipalité, soit environ 200$ la question. Et plusieurs réponses étaient Dossier inexistant! La directrice générale a bien tenté de se justifier en prétextant que certaines questions n’étaient pas claires, ou que cela relevait de dossiers confidentiels. Il s’agit là d’une réponse de mauvaise foi quand on sait  que l’un des questions était de savoir si oui ou non le propriétaire du garage de la honte avait eu un permis pour construire son abri à sel! C’est simple de répondre NON! Et ça ne prend pas un avocat. L’administration Lacombe nous donne encore ici un bel exemple de son contrôle sur l’information qu’il choisi de partager à ses citoyens, et surtout, sa soi-disante bonne gestion des affaires de la municipalité en prend ici pour son rhume. Le maire se vante que la municipalité ne coûte que 12% en frais d’administration. Ce serait bien si c’était vrai, mais c’est encore trop, car il fait faire le travail par des avocats et les frais juridiques eux sont à part. Voilà pourquoi les citoyens n’ont jamais de réponse quand ils demandent le bilan des frais juridiques! C’est inacceptable!

Une discussion vigoureuse a éclaté entre les conseillers et les propriétaires de la cabane à sucre à Tétreault au sujet du raccordement aux égoûts qu’ils ont demandé. Pendant toute la discussion, le maire a prit parti pour le propriétaire, un peu comme il l’a fait au CCU pour le garage de la honte, alors que les conseillers ont demandé d’avoir des informations supplémentaires avec l’ingénieur. La décision à ce sujet a été reportée au prochain conseil.

La période des questions a été ponctuée de nombreuses questions des citoyens, notamment à propos des dégâts fait par le déneigeur de la municipalité, de l’état de l’aqueduc dans la montée du 4e rang, de l’installation possible d’un étang pour poissons par le MTQ sur des terres agricoles, et du rapport des fosses septiques dans les rues Normand et Demers. Nous reviendrons sur ce point dans un prochain article.

En résumé, une réunion plus calme, mais pas plus facile pour l’administration Lacombe. La présence et les interventions de M. Gilles Carpentier semblent avoir créé une nouvelle dynamique au conseil, ce qui est de bonne augure pour les citoyens, mais pas nécessairement pour l’administration Lacombe qui devra désormais se justifier devant les conseillers en plus des opposants.