Très belle caricature du maire Simon Lacombe dans Le Courrier de Saint-Hyacinthe du 19 février 2015! Et très représentative aussi!

Reproduit à partir du site Web du Courrier de Saint-Hyacinthe, voir http://www.lecourrier.qc.ca/caricatures
Très belle caricature du maire Simon Lacombe dans Le Courrier de Saint-Hyacinthe du 19 février 2015! Et très représentative aussi!
Reproduit à partir du site Web du Courrier de Saint-Hyacinthe, voir http://www.lecourrier.qc.ca/caricatures
Ajouter une note à votre agenda ou téléphone intelligent! La prochaine réunion de citoyens aura lieu le 23 février 2015 prochain, à 19h30, au 595, boul. Laurier, entrée par la rue Demers.
Venez encore plus nombreux que la dernière fois!
C’est un rendez-vous, enfin, on se tient!
L’administration Lacombe souhaitait avoir des débats dans la sérénité, tel que demandé dans son bulletin d’information spécial du 30 janvier dernier. À la réunion du conseil du 2 février, la sérénité était de retour au conseil. Ça n’a pas empêché l’administration Lacombe d’être embarassé par les questions et commentaires des citoyens présents qui s’étaient déplacés en grand nombre. Notons aussi la présence de nombreux médias, soit Le Courrier de Saint-Hyacinthe (éditorial et article), TV Cogeco (voir ici), et Boom FM. Enfin, le nouveau chef des pompiers, M. Francis Lacharité, était également présent, et à répondu à des questions de citoyens.
La période des questions a commencé par une déclaration de Mme Lise Chartier informant le conseil que les citoyens avaient beaucoup de questions pour eux, et que celui-ci devait leur revenir avec des réponses claires et précises, et aussi par courrier avec les documents pertinents si ceux-ci n’étaient pas disponibles le soir même. Le bal des questions a ensuite commencé, et l’administration Lacombe a de nouveau été mis face à ses contradictions. Vous pouvez voir les questions et réponses dans les vidéos ci-dessus.
Le reportage de J.E. sur le garage de la honte est enfin disponible en ligne sur leur page Facebook pour ceux qui n’auraient pas eu la chance de le voir : https://www.facebook.com/video.php?v=648674711921427&set=vb.236869246435311&type=2&theater
Les commentaires des internautes au sujet du reportage sont très intéressants.
Excellent reportage de Bruno Beauregard sur la dernière réunion du conseil:
Comment se fait-il qu’on veut prendre de la grosse argent, pour faire un nouveau projet, quand on a pas les moyens d’entretenir des anciennes infrastructures.
Lise Chartier
Qu’est-ce que tu veux qu’on fasse? Le garage, il avait le droit. Le conseil a été unanime a adopté la dérogation mineure. Il y a beaucoup de vengeance. Beaucoup de vengeance. […] Il va y avoir des poursuite en diffamation. J’ai des enregistrements pour poursuivre les coupables.
Simon Lacombe, maire
Ils veulent qu’on se la ferme, la vérité ça dérange, monsieur. Ils disent qu’on fait de la diffamation, on ne fait pas de diffamation, on dit la vérité, mais ça dérange, facque ils nous accusent de diffamation.
Lise Chartier
Il y a quelque chose d’exaspérant avec Simon Lacombe. Il a demandé à plusieurs reprises, aux séances du conseil, dans une mise en demeure envoyés aux opposants, dans le bulletin spécial du 30 janvier 2015, le respect des élus, et des échanges sereins. Or, que fait M. Lacombe? Il menace des citoyens de poursuite, il traite les opposants de frustrés, et affirme que d’autres citoyens agissent par vengeance envers lui. Ne devrait-il pas donner l’exemple à ces citoyens? Bien évidemment, ce que M. Lacombe n’a visiblement pas compris, de même qu’il doit comprendre qu’il est au service de la population.
Aussi, voir une analyse des événements par Jean Dumont, et Bruno Beauregard.
Court article dans l’édition du Courrier de Saint-Hyacinthe à propos de la dernière séance du conseil municipal.
Excellent éditorial de Martin Bourassa, éditorialiste du Courrier de Saint-Hyacinthe, dans l’édition du 5 février du journal, à propos de toute la contreverse entourant le garage de la honte.
http://www.lecourrier.qc.ca/opinion/editorial/2015/02/05/folie-grandeurs/6319
Considérant l’ampleur du projet et les remous prévisibles qu’il allait susciter, l’extrême prudence et transparence auraient dû guider l’administration municipale.
Martin Bourassa, éditorialiste