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Réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 3 avril 2017 : un vrai scandale!

La réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 3 avril 2017 est à marquer au fer rouge. Le maire Lacombe, avec ses 2 alliés soumis Chantal Bernatchez et Patrice Barbot et les éternels indécis, Lise Cadieux et Daniel Choquette, avaient l’air d’exercer une revanche rapide et brutale sur les 2 conseillers indépendants restants et les opposants. Depuis quelques temps Lise Cadieux et Daniel Choquette sortent soudainement de leur tanière, en voulant démontrer qu’ils sont capables de prendre des décisions. Peut-être dans le but de mériter des votes aux prochaines élections? Mais pour cela faudrait-il que leurs décisions soient bonnes, ce qui veut dire qu’elles soient prises dans l’intérêt commun des citoyens. Peut-être y’a-t-il aussi de la jalousie, car le dernier conseiller rentré, Gilles Carpentier, prends beaucoup de place depuis son arrivée. On l’a vu dans les média et fait marquant, il se démarque par sa transparence tant recherché par les citoyens depuis longtemps. Il est le seul à poser des questions sur les comptes à payer, à dévoiler des montants que le maire espérait garder cacher et répondre clairement aux questions des citoyens. Daniel Choquette et Lise Cadieux sont sur le conseil depuis plusieurs années et on ne les a jamais vu questionner l’administration du maire Lacombe. Étaient-ils toujours d’accords avec le maire Lacombe? Ou s’ils n’osaient pas soulever la poussière bien collée depuis des années et se la coulaient douce? Pas d’opposition pas de travail! Que ce soit l’une ou l’autre de ces raisons, pourquoi n’ont-ils jamais rien fait qui attire l’attention des citoyens avant?

Ordre du jour – 3 avril 2017

Procès-verbal – 3 avril 2017

La soirée a d’abord commencé par le maire Lacombe qui a ajouté 2 points à l’ordre du jour et pas n’importe lesquels. Nous y reviendrons tantôt. Ensuite, il a brutalement interrompu une citoyenne qui avait commencé à poser une question, pour donner la parole à Patrick Toutant. Ce citoyen disant qu’il venait pour « DÉFENDRE » le maire Lacombe suite à la capsule d’Infoman du 23 mars 2017. Il a demandé, tenez-vous bien, à ce que soit INTERDIT toute prise de vue, tout enregistrement audio, tous les cellulaires, tablettes et caméras, et même toute présence de journaliste. Il a demandé également que le conseil enlève la première période de question de 15 minutes. Donc pour lui, « DÉFENDRE » le maire Lacombe signifie d’empêcher les citoyens de poser des questions et de cacher aux citoyens la vérité sur les agissements du maire et son équipe! On en croirait presque que son intervention était commandée, soit par le maire ou un de ses conseillers. Si vous regardez la vidéo, vous pouvez très bien voir que le maire donne la parole à Patrick Toutant avant même qu’il ait levé la main. Alors le maire savait très bien ce qui se tramait. Ce que ce citoyen demande se résume en un mot: CENSURE! Il a dit que ça ridiculisait le maire et les citoyens de Ste-Marie-Madeleine. S’il est en colère contre la capsule d’Infoman, hé bien! Qu’il se plaigne au maire Lacombe! Rien n’a été inventé dans cette capsule! Ce n’est que la stricte vérité, et que le maire Lacombe assume ses actions! Il n’avait qu’à ne pas faire des stupidités en assemblée publique. Empêchons les citoyens de le voir tel qu’il est, sauf s’ils sont présents sur place! Voilà la solution aberrante que propose ce citoyen qui s’est déjà lui-même opposé au maire Lacombe en 2009 (Le diable est aux vaches à Sainte-Marie-Madeleine – Le Courrier de St-Hyacinthe). Qu’il se présente donc aujourd’hui pour « DÉFENDRE » le maire Lacombe est très bizarre, et un peu suspect.

Le maire Lacombe, qui a dit sans sourciller à J.E. qu’à Ste-Marie-Madeleine, la magouille est assez rare (voir l’article à ce sujet ici) semble ne pas se rendre compte de ce que c’est que de la magouille! En effet, comme il le faisait par le passé, il a, sans avertir tous les conseillers au préalable, changer l’ordre du jour pour ajouter 2 points. Et ces points favorisaient directement son ami Sylvain Lévesque! L’homme, qui est poursuivit par Sainte-Marie-Madeleine, qui est poursuivit également par des opposants, et qui se fiche éperdument des règlements, a profité des bonnes grâces du maire Lacombe! M. Lévesque avait été absent de plusieurs réunions dernièrement, mais il faut croire qu’il avait été prévenu d’avance, car il était présent cette fois.

Le premier point ajouté était pour présenter un avis de motion pour effectuer un changement d’usage de la zone 203 (en gros, les anciens terrains de LKQ, entre les rues Normand et Millette) qui ajouterait l’usage d’entreprise de déneigement dans cette zone. Il s’est cependant gardé de dire que cet usage ne viendrait pas seul, il s’agirait de déneigement-terrassement dans la zone commerciale où se situait auparavant LKQ. Des voisins immédiats pourraient ne pas être d’accord avec ce qu’implique ce changement.

Ensuite, le maire Lacombe a fait voter une résolution dans le but d’engager un ingénieur pour étudier les travaux et les coûts d’installations d’égouts dans les rues Demers, Normand, Palardy et sans surprise sur la 116. C’est alors que M. Carpentier a rappelé au conseil que la compagnie Aviso était déjà mandatée depuis plusieurs mois pour une somme de $16 000 pour déterminer les priorités à faire dans la paroisse. Pourquoi donner un 2e mandat pour la même chose? Pourquoi payer en double ? Pourquoi ne pas attendre le résultat d’Aviso? Ça tourne pas rond dans la tête du maire! En plus avec cette résolution, il a fait fi d’une pétition de plus de 232 noms contre le fait de faire des égouts sur le Boulevard Laurier avant de faire la rue Demers. Pourquoi cette pétition? Parce que le maire Lacombe voulait passer les égouts sur le Boul. Laurier jusqu’à la rue Millette pour le projet résidentiel de M. Lévesque et que les citoyens de la rue Demers attendent les égouts depuis très longtemps. C’est en effet la plus vieille rue du secteur et certains résidents ont de graves problèmes avec leurs installations septiques. Donc, les citoyens se sont opposés avec raison, et il est normal qu’ils veulent les égouts sur la rue Demers avant d’autres projets.

En regardant tout ça, on a la drôle d’impression que le maire Lacombe veut servir un retour d’ascenseur à M. Lévesque. Mais en retour de quoi? Et cette question en apparence bien anodine ressemble beaucoup à celles qui ont été posées à la commission Charbonneau. Nous n’accusons personne ici, mais la situation est extrêmement délicate, et le maire Lacombe ne s’en rend même pas compte après 36 ans. Lui qui a dit à J.E. « que la magouille était assez rare à Sainte-Marie-Madeleine», on comprend maintenant pourquoi enlever les caméras, et interdire les journalistes serait un gain pour certains.

Prochain rendez-vous le 1er mai 2017!

 

Réunion extraordinaire du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 13 mars 2017 : le cirque en folie!

La réunion extraordinaire du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 13 mars 2017 a été demandé pour approuver la nomination comme nouvelle directrice générale Mme Lucie Paquette, qui était déjà la secrétaire-trésorière de la municipalité. Et surprise! La réunion a été non seulement un vrai cirque comme plusieurs réunions l’ont été depuis plus de 2 ans, mais cette fois on peut même dire que le cirque était en folie !

D’abord, il est important de faire un rappel en arrière pour bien comprendre ce qui s’est passé. L’ancienne directrice générale, Mme Ginette Daigle, qui avait engagé Mme Paquette (son ancienne collègue lorsqu’elles travaillaient toutes deux à la municipalité de St-Valérien de Milton), a vu son contrat d’emploi rompu à la réunion extraordinaire du 19 janvier dernier. Une histoire de plainte d’harcèlement faite par Mme Daigle contre les 4 conseillers indépendants avait été au coeur de cette autre controverse du maire Lacombe. Vu le départ de Mme Daigle, le poste de directeur-général devait être comblé. Ensuite, rappelez-vous que les 2 dernières directrices-générales ont quittés dans la controverse, et que chacune avait été promue à ce poste. Il était évident que du sang neuf venant de l’extérieur était requis.  On pouvait donc s’attendre qu’avec le changement de dynamique au conseil, un processus transparent et rigoureux aurait été mis en place pour trouver un nouveau directeur-général. Ce ne fut pas le cas, et c’est à ce moment que la réunion a dégénérée.

On a donc appris que le comité en place formé des conseillers Chantal Bernatchez, Lise Cadieux et Daniel Choquette, les responsables qui devaient s’occuper du remplacement de la directrice-générale, ne savaient pas qu’est-ce qu’une compétence ? La question « Quelle compétence demandiez-vous pour le poste de directeur-général ? » a été posée à plusieurs reprises et personne n’a été capable de répondre… C’est flagrant que ce comité n’est pas compétent et que ses membres auraient dû demander de l’aide d’une firme extérieure. Mais non! Ils ont recommandé l’embauche de Mme Paquette, au lieu d’aller chercher une personne diplômée, et surtout indépendante de l’influence malsaine du maire Lacombe. On pourrait croire à une malédiction qui se répète sans fin. On n’engage personne de l’extérieur, seulement des personnes qui changent de chaises. Y’a-t-il des secrets à préserver ? Une personne de l’extérieur trouverait-elle un secret bien gardé, et pourrait le dévoiler ?

Sur 22 candidats, le comité en a rencontré seulement 4 pour terminer avec Mme Paquette. Quelle mascarade d’avoir fait une ouverture de poste bidon pour terminer avec la personne qui comblait déjà le poste de directrice-générale en remplacement de Mme Daigle. D’ailleurs, les conseillers ont dû voter une résolution pour obliger Mme Paquette à remplacer Mme Daigle durant son absence, chose qui faisait déjà parti de ses fonctions de secrétaire-trésorière adjointe… alors pourquoi ?

Et ce n’est pas tout! En effet, Gilles Carpentier a sorti de son cartable un article de journal datant de 1989 (il s’agit de cet article : Reconnue coupable, elle devra remettre la somme de 11 800$ – Le Courrier de St-Hyacinthe). Il y est indiqué que Lucie Paquette avait été reconnu coupable de s’être accordée une “augmentation” de salaire sans l’aval du conseil de St-Valérien-de-Milton, son employeur de l’époque! Scandaleux n’est-ce pas? Mais pas pour tout le monde!

Les hauts cris de Patrice Barbot, qui a rétorqué que ça datait de plus de 30 ans, ne changent rien aux faits. Une personne sensée et intègre n’approuverait jamais l’embauche comme directeur-général d’une personne avec un tel antécédent judiciaire! Ne devrait-on pas être plus pointilleux quand on gère l’argent d’autrui que son propre argent? Pas selon les conseillers Patrice Barbot, Chantal Bernatchez, Lise Cadieux, Daniel Choquette et le maire Lacombe. Comment se fait-il que Mme Paquette ait été engagée la première fois, il y a 3 ans comme secrétaire-trésorière avec un antécédent pareil? C’est évident que ceux qui l’ont embauchée la première fois ont bâclé le travail, et qu’ils n’ont pas fait mieux cette fois-ci. Une citoyenne leur a dit qu’elle était très déçue de la façon qu’ils ont fait les choses et tous les citoyens présents ont applaudis.

Au début du mois à la réunion du 6 mars, on accordait à Mme Paquette une augmentation de salaire de 25% pour son poste de secrétaire-trésorière, et maintenant on lui donne le poste de directrice générale! On dirait que certains élus n’en ont rien à foutre des décisions qu’ils prennent tant qu’ils ont leur chèque à chaque mois, ils peuvent jeter l’argent des citoyens par les fenêtres. Un tel salaire doit être justifié par des diplômes ! Chantal Bernatchez et Daniel Choquette ont dit qu’elle avait plus de travail… Comment peut-on travailler plus quand on ne fait pas plus d’heures ? Daniel Choquette, qui était pourtant sur le comité rappelez-vous, ne semblait pas trop au courant de ses dossiers, car il parlait de 35 heures semaine, pour ensuite apprendre que c’était 32 heures semaine! Cela porte à croire qu’elle n’avait pas assez de tâches pour occuper son temps avant.

Et malgré tout ça, par un vote de 4 contre 3, le projet de contrat a été approuvé! Aux citoyens qui se posent la question, voici les conseillers qui sont responsable d’avoir approuvé cette infamie, démontrant leur peu de considération et de respect pour ceux qui les ont élus : le maire Lacombe bien sûr, les conseillers Patrice Barbot et Chantal Bernatchez sans surprise, mais aussi la conseillère Lise Cadieux. Dans ce dernier cas, on peut donc parler d’un retournement de veste de la part de cette personne qui a appuyé Gilles Carpentier pour qu’il soit élu (voir 3 conseillers appuient Gilles Carpentier). On aurait pu croire, qu’après s’être dissociée de l’équipe du maire Lacombe, elle avait enfin compris son rôle: celui de représenter les intérêts des citoyens. Il semble bien que non, et par son manque de jugement absolument sidérant, elle vient de redonner le pouvoir au maire Lacombe. De ce fait, les citoyens se retrouvent de nouveau en otages de décisions arbitraires et contraires au sens commun de ce dernier. Les prochaines élections sont pour novembre 2017. Les citoyens se rappelleront du nom de Lise Cadieux lorsqu’ils iront voter, pour choisir quelqu’un d’intelligent et de plus clairvoyant pour la remplacer définitivement.

Un dernier mot en terminant sur le conseiller Daniel Choquette, «la girouette », dont la rumeur dit qu’il veut se présenter comme candidat à la mairie aux prochaines élections. Celui-ci tente manifestement de faire plaisir à tout le monde dans le but d’avoir des votes, mais sans se préoccuper du vrai rôle qu’il doit jouer, bien administrer la municipalité en étant conseiller avant tout. Il faudra se rappeler de ne pas voter pour lui aux prochaines élections.

 

Réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 6 mars 2017 : les citoyens encore pris en otage

Plus ça change, et plus c’est pareil à Sainte-Marie-Madeleine, il faut croire. En effet, la réunion du 6 mars 2017 a été le théâtre d’affrontement entre les opposants et le maire Lacombe. Le principal sujet de discorde a été le contrat de travail de la secrétaire trésorière, Mme Lucie Paquette, qui a reçu une augmentation de 25% de sa rémunération! Oui, oui, vous avez bien lu : 25% d’augmentation! Tout ça dans un contexte où la municipalité fait des déficits depuis 3 ans!

Comme c’est le cas de plusieurs sujets à Sainte-Marie-Madeleine, de fausses informations circulent, et certains croient que c’est une augmentation de l’ensemble des employés du bureau municipale qui totaliserait une augmentation de 25%. FAUX! D’autres se sont laissés dire qu’elle avait une augmentation de 25 % parce qu’elle remplaçait la directrice générale. Et bien NON! Cette augmentation de 25 % est seulement pour elle, pour le poste de secrétaire-trésorière, et pas non plus parce qu’elle n’avait pas été augmentée depuis longtemps. Quand elle remplace la directrice-générale, elle a le même salaire que celle-ci. Elle devait retourner à son ancien poste de secrétaire-trésorière, et c’est pourquoi on lui a accordé une augmentation de salaire de 25%. La municipalité ne lui devait donc rien d’autre qu’une augmentation normale suivant l’inflation de la vie. Certains comparent le salaire des secrétaires-trésorières des autres municipalités et disent que ce n’est pas le plus gros salaire, mais attention, il faut comparer des pommes avec des pommes. Il faut tenir compte de la taille de la ville et des diplômes de l’employée en question. Si on regarde bien tout le contexte ici, 25% c’est inacceptable. Mais vu que c’est l’argent des citoyens, et qu’on ne répondra pas à leurs questions, on s’en fout royalement. De toute façon ce ne sont que des payeurs de taxes, ils n’ont qu’à payer et ne rien dire, parce que s’ils insistent pour avoir des réponses à leurs questions, ils passent pour des gens irrespectueux. Le respect se mérite, il n’est pas donné, et ce n’est pas avec ce genre d’attitude hautaine que le maire Lacombe et ses alliés au conseil vont obtenir le respect qu’ils croient avoir droit.

Ainsi donc, encore un bel exemple de gestion broche à foin de la part du maire Lacombe et des conseillers Patrice Barbot, Chantal Bernatchez, mais aussi, Lise Cadieux et Daniel Choquette qui ont tous voté également pour ça! Les directeurs de Bombardier pourrait en être jaloux !

Prochain rendez-vous le 3 avril 2017!

Réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 6 février 2017 : l’ignorance n’est plus toléré

Le maire Lacombe a dû sincèrement souhaiter pouvoir revenir aux premières assemblées du conseil suite à la controverse du garage de la honte en 2014. En effet, lors de la réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 6 février 2017, la salle était bondée et les citoyens présents ont mit une pression supplémentaire sur le maire Lacombe, lui qui a déjà fait face à ses opposants qui le talonnent depuis maintenant 2 ans. Sa vieille arme, de garder les citoyens dans l’ignorance en ne présentant pas les informations pertinentes, a été rejetée sous les acclamations de “ON VEUT UNE ÉTUDE” au sujet de la possible fusion des 2 Sainte-Madeleine.

Un article à ce sujet a d’ailleurs été publié dans Le Courrier de cette semaine : Sainte-Marie-Madeleine demande l’étude de fusion avec le Village – Le Courrier de Saint-Hyacinthe

Vidéothèque Sainte-Marie-Madeleine

Prochain rendez-vous le 6 mars 2017!

Réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 4 juillet 2016 : le revenant

Le maire Lacombe était de retour à son poste pour la réunion du conseil municipal de Sainte-Marie-Madeleine du 4 juillet 2016 tel qu’il l’avait annoncé (Le Courrier de Saint-Hyacinthe – Le maire Lacombe se remet d’une amputation). Parraissant affaibli, le maire Lacombe a mal paru à plusieurs reprises lors de la réunion. Notamment parce qu’il a du faire venir des membres de sa famille, certains résidant à Sainte-Madeleine,  pour le supporter tellement ses appuis au sein du conseil et de la population sont en chute libre! Le conseiller Patrice Barbot de son côté était absent suite au décès d’un de ses employés dans un accident de travail. (Le Courrier de St-Hyacinthe – Un homme de Saint-Théodore-d’Acton décède tragiquement à l’usine Olymel de Princeville)

Pour visionner l’ensemble de la réunion, vouz pouvez aller ici : Vidéothèque Sainte-Marie-Madeleine

Procès-verbal – 4 juillet 2016

Première période de question

Tel que mentionné, le maire a mal paru lors des 2 périodes de questions. Lors de la première, le maire a du défendre l’intervention de la directrice-générale à TVA (voir l’article ici), alors que cette dernière n’a pas informé le journaliste qu’une motion avait été déposée au sujet des pitbulls. Sa défense a été assez faible, disant que c’était du passé. À la question “Qu’est-ce que c’est le sujet du point 7.5, d’entériner une entente de principe CNESST?”, le maire a indiqué que c’était confidentiel! La citoyenne a alors demandé pourquoi c’étais à l’ordre du jour, ce à quoi le maire Lacombe a répondu qu’une résolution devait être passée au conseil. Devant le peu de réponse du maire, la citoyenne a demandé aux autres membres du conseil ce qui en était, et c’est Gilles Carpentier qui a répondu qu’il s’agissait de l’entente pour la plainte de harcèlement. Daniel Choquette a aussitôt enchaîné en disant que ce point était reporté de toute façon. Il est à noter ici, pour ceux qui suivent les affaires municipales, que l’histoire se répète. Quand quelques conseillers ne disent pas comme le maire, une plainte d’harcèlement survient comme en 2009 et ce sont nous les citoyens qui payent les frais de tout ça. Des centaines de millier de dollars en avocats et en frais pour intimider ceux qui veulent vraiment servir la population.

Le maire Lacombe a ensuite été incapable d’expliquer ce qu’était un PIIA dont la firme Gestim avait reçu le mandat de mettre sur pied. Il a fallut que le conseiller Gilles Carpentier réponde sur ce sujet devant un maire Lacombe perdu

La directrice-générale et le maire ont aussi mal paru après qu’un citoyen leur a posé la question suivante: “Pouvons-nous savoir au juste de combien est le surplus?”. C’est alors que la Directrice générale, Mme Ginette Daigle a répondu aux citoyens présents que les informations sur le surplus avaient été inscrites dans le journal municipal du mois de mai. Lise Chartier, une opposante, avait en main les derniers journaux de mai et juin, et rien n’était mentionné. Elle a insisté pour dire qu’il n’y avait rien dans les journaux municipaux. Comme souvent c’est le cas, lorsqu’aucune réponse ne veut être donnée et qu’il faut changer le sujet pour se débarrasser de la question ambiguë, le maire de dire “Mme Daigle va vous l’envoyer’’. C’est alors que Mme Chartier a demandé que les informations soient mises dans le prochain journal municipal pour que tous les citoyens puissent voir et être au courant. Mais si vous regardez le journal qui vient de sortir 2 semaines après cette réunion, RIEN… Encore une fois, il faudra que les citoyens se battent pour avoir les informations, sinon ça tombera dans l’oubli. Comme ça, pas besoin de répondre et tout reste caché. Il fut promis que les informations seraient dans le prochain journal.

Une citoyenne de la montée du 4e rang a demandé si c’était possible d’avoir plus de bornes-fontaines dans son secteur, car il est très boisé et un incendie menacerait toutes les résidences. Le maire Lacombe a été muet à ce sujet, ce qui n’est pas surprenant vu son opposition aux bornes-fontaines dans le domaine Huron. Les autres conseillers ont répondu que le projet était dans les cartons, mais une évaluation de l’état des tuyaux devait être faite avant et ça s’en vient.

Un dernier citoyen a demandé un suivi à une question qu’il avait posée lors d’une réunion précédente, à savoir si la terre qui avait été étendue dans le secteur de la rue Du Moulin n’était pas contaminée. Aucun suivi n’avait été fait, ce qui est un thème récurrent à Sainte-Marie-Madeleine. La directrice-générale a informé le citoyen que l’entrepreneur avait été avisé de cesser les travaux pour le moment. Des discussions auront lieu pour savoir si des analyses seront effectués, pour éviter des problèmes après coup, tel que mentionné par le citoyen.

Deuxième période de questions

La deuxième période de questions s’est terminée sur une question d’un citoyen qui a tourné à la foire d’empoigne. Le citoyen a demandé pourquoi le fils du maire Lacombe, Jean-Pierre, avait dit que Sainte-Marie-Madeleine utiliserait les fonds publics pour étirer les procédures dans la poursuite engagée par des citoyens contre la municipalité à propos du garage de la honte. Le maire Lacombe s’est offusqué en disant qu’il était honnête. Alors le citoyen lui a rappellé son entrevue au Courrier (Le Courrier de Saint-Hyacinthe – Le maire Lacombe se remet d’une amputation) dans lequel il disait qu’il ne buvait et ne fumait pas, et qu’il ne comprenait pas pourquoi il était malade, alors que des sources sûres disent tout à fait le contraire! Le maire a bien tenté de dire que ce point était hors-d’ordre, mais comment cela aurait pu l’être étant donné qu’il s’agissait de la période de questions? Quel arrogance! Le maire Lacombe ne se gêne pas pour favoriser ses amis, notamment le propriétaire du garage de la honte. Il ne s’est pas gêné pour faire du salissage lors de la dernière campagne électorale. Et il intimide et tente de faire taire ceux qui ne pensent pas comme lui. Voilà l’héritage du maire Simon Lacombe! Ce n’en est pas un d’honnêteté, mais un d’intimidation, de dictature, de salissage, et de mauvaise foi. Le maire Lacombe peut bien monter sur ses grands chevaux, il n’a aucune autorité pour faire la morale à qui que ce soit. Et il est temps que son règne se termine.

Prochain rendez-vous le 15 août 2016!

Réunion extraordinaire du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 16 mars 2016 : vraiment nécessaire?

La réunion extraordinaire du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 16 mars 2016 fut courte, comme celle du 21 janvier 2016, car encore une fois un seul point était à l’ordre du jour. Mais est-ce qu’elle était vraiment nécessaire?

Proces-verbal – 16 mars 2016

Le but de la réunion était simplement l’approbation par le conseil des dépenses sur des travaux d’entretien routier tel qu’exigé par le Ministère des Transports. Rien de bien compliqué. Mais en quel honneur il a fallut une réunion spéciale pour obtenir cette approbation? La directrice-générale a informé le conseil qu’elle avait obtenu une prolongation de la période de demande pour pouvoir soumettre cette dépense à l’approbation du conseil. Pourquoi donc cette demande d’approbation n’a pas été mise à l’ordre du jour dans l’une des 2 dernières réunions du conseil (1er février 2016 ou 7 mars 2016) ? La directrice-générale a clairement failli à son rôle ici, car par sa faute, les élus ont dû se déplacer pour régler un dossier qui aurait dû l’être bien plus tôt. Cela a évidemment engendré des coûts pour Sainte-Marie-Madeleine qui auraient pû être évités. Depuis le début de la controverse du garage de la honte, les compétences de la directrice-générale sont mises en doute devant toutes les contradictions et gaffes dont elle est responsable. Quelle sera la prochaine? La question se pose.

 

Réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 7 mars 2016 : intimidation et foire d’empoigne

La réunion du 7 mars 2016 du conseil de Sainte-Marie-Madeleine a été le théâtre de nombreux affrontements entre partisans et opposants du maire. Et comme d’habitude, le maire Lacombe a laissé pourrir la situation, en laissant au propriétaire du garage de la honte une latitude complaisante pour attaquer les conseillers indépendants et les opposants. Il faut aussi noter que c’est la première réunion qui a été filmée par Sainte-Marie-Madeleine, et qui est disponible en ligne au lien suivant :

http://stemmadeleine.videotheque.quebec/maestrov/app/client/AssetManager/AssetManager.php?USERNAME=citoyen&PASSWORD=citoyen&clientSuffix=stemmadeleine

Le début de la réunion a été marqué par une question d’un citoyen au maire Lacombe, à savoir s’il avait des intérêts dans le projet domiciliaire de l’ancien terrain de LKQ. Le maire Lacombe a répondu par la négative, mais peut-on vraiment le croire? L’époque où ce que disait le maire Lacombe était parole d’évangile est révolue depuis longtemps. Et les faits des derniers mois prouvent que le maire Lacombe n’est pas digne de confiance. La réponse du maire Lacombe doit donc être prise avec un gros grain de sel. De plus, le maire a ajouté qu’il appuyait le projet pour les citoyens, pour amener des taxes à la municipalité, alors même que sa gestion broche à foin mettra Sainte-Marie-Madeleine en déficit! Et n’oublions pas que les citoyens que le maire Lacombe aime sont ceux qui pensent comme lui, les autres il tente par tous les moyens de les faire taire… Pour le gros bon sens, on repassera.

La réunion en tant que tel a été plutôt tranquille, c’est lorsque l’ordre du jour est arrivé à un point du varia ajouté par le maire Lacombe que la situation s’est envenimée. Le point ajouté concernait un projet de développement résidentiel dans l’ancien terrain de LKQ proposé par le propriétaire du garage de la honte! Et oui, malgré 2 refus il y a de ça plusieurs mois, ce dernier revenait à la charge. Et devinez quoi? Le projet a de nouveau été rejeté majoritairement par le conseil pour une raison bien simple : le terrain de LKQ est le dernier terrain commercial de la municipalité, alors qu’il y a d’autres zones blanches prêtes à développer avant. Il s’agit là d’une raison tout à fait logique de la part du conseil.

Ce refus a irrité Sylvain Lévesque et son père. Il a demandé s’il devait faire comme d’autres ont fait, et mettre les photos des conseillers indépendants sur de belles pancartes pour que le projet débloque! Si le propriétaire du garage de la honte veut ainsi faire accepter son projet, ce n’est pas en faisant de l’intimidation de cette façon qu’il réussira! D’ailleurs, la mémoire courte de Sylvain Lévesque est facile à démontrer, car aucune photo n’a jamais été mis sur une pancarte par les opposants, sauf lors de l’élection complémentaire.

Il a ensuite informé le conseil qu’il avait fait une tournée des rues Jarry, Normand et Millette, et que les quelques citoyens rencontrés appuyaient son projet, sans en amener la moindre preuve ou personne qui l’appuierait dans ses dires. Il est bien connu que le propriétaire du garage de la honte parle énormément à travers de son chapeau, et il s’agit là probablement d’un autre exemple de ses exagérations. Il a ensuite affirmé qu’il voudrait travailler de connivence avec la municipalité pour développer ce terrain. Connivence? Si vous allez voir dans le dictionnaire ce que ce mot veut dire, il s’agit d’entente secrète, de collusion. Le propriétaire du garage de la honte venait de dire devant tous qu’il voulait travailler sur une entente ou participation secrète avec la municipalité! Soit qu’il s’agit d’un lapsus, soit qu’il ne sait pas de quoi il parle, mais dans les deux cas, ça ressemble bien à sa manière de fonctionner utilisé pour le garage de la honte, et cela n’a rien de rassurant pour les citoyens.

Mis devant le fait qu’il ne respecte par les réglements municipaux, et plus d’une fois, le propriétaire du garage de la honte a affirmé sans gêne que les règlements seraient respectés dans le développement résidentiel. Mais quelle farce! Qu’il commence par prendre action sur ce qui n’est pas conforme sur ses terrains et ensuite, il pourra être pris au sérieux. Si on en juge par ses actions passées, pourquoi cette fois-ci, serait différente ? C’est suffisant pour douter de sa bonne volonté.

D’ailleurs, le maire Lacombe n’a aucune idée des chiffres de ce projet, ni comment cela coûterait, ni comment cela rapporterait. Aucune administration digne de ce nom sur la planète ne parle de projet avant d’avoir fait un plan d’affaire et d’avoir des chiffres concrets à présenter. Lors d’une réunion à l’automne 2015, un citoyen avait posé la question au maire à savoir combien ce projet allait rapporter à la municipalité. Le maire avait répondu, on a juste à le faire et vous allez voir! Et le maire Lacombe se dit bon gestionnaire? Pas étonnant dans ce cas que Sainte-Marie-Madeleine est en déficit! Encore une fois, le maire Lacombe embelli la vérité devant les citoyens. Ça en devient presque prévisible de sa part…

Les conseillers indépendants ont eu la bonne attitude en refusant ce projet. Mme Noëlla Paquette, la grande victime du garage de la honte, a dû insister auprès du maire pour pouvoir placer un mot, car à chaque fois qu’elle veut parler, le maire la fait taire. Elle a déclaré que c’est pitoyable que des citoyens doivent payés pour faire appliquer les lois et règlements à des gens comme le propriétaire du garage de la honte. À quoi bon aller chercher plus de taxes avec un projet résidentiel si c’est pour le dépenser en poursuites? Et pour paraphraser Sylvain Lévesque et le maire, les citoyens seront effectivement juge entre des conseillers qui veulent que tous les citoyens respectent la réglementation de la municipalité, ou un maire qui favorise ses amis, se prend pour un roi, et est prêt à n’importe quoi pour garder le pouvoir. Au final, le choix est clair : le règne du maire Lacombe a assez duré.

Prochaine réunion du conseil le 4 avril 2016!

Réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 1er février 2016 : l’histoire se répête

Depuis le début de la controverse du garage de la honte, la réunion du conseil municipal de Sainte-Marie-Madeleine du 1er février 2016 fut la plus courte : environ 50 minutes top chrono! Mais n’allez pas croire que rien n’est arrivé pendant cette réunion.

L’ordre du jour en soit était peu volumineux. Il y avait en effet beaucoup de points généraux sans grand intérêt. L’ordre du jour fut donc expédié rapidement.

Proces-verbal – 1er février 2016

Le maire Lacombe a cependant fait ajouter un point à l’ordre du jour qui mérite d’être mentionné. La résolution ajoutée était que les conseillers indépendants Gilles Carpentier et Jean-Guy Chassé fassent rapport sur les discussions qu’ils ont eu avec Sainte-Madeleine au sujet d’un possible regroupement des services des loisirs. Le maire Lacombe ne manque pas de culot ou d’arrogance ici. Il est en effet un champion quand il est temps de ne pas répondre aux questions des citoyens ou faire rapport sur les activités de la municipalité. Bref, un champion de la noirceur et des cachoteries. Il n’est pas placé du tout pour faire des leçons de transparence aux conseillers indépendants! Bien sûr que ces derniers vont faire rapport au conseil, car ils font preuve de transparence, eux.

La citoyenne Lise Chartier a prit le plancher à la période de questions. Elle a commencé en faisant remarquer à Mme Bernatchez qu’il ne suffisait pas seulement de dire qu’elle prenait en note et qu’elle s’occuperait de la demande d’une citoyenne, mais qu’elle devrait s’en occuper vraiment. Une demande avait été faite à l’été 2015, et encore rien n’avait été discuté jusqu’à ce jour. Pour l’efficacité, on repassera.

Ensuite Mme Chartier a demandé à la directrice-générale si elle demanderait des factures détaillées à l’avenir, puisque payer des factures sans savoir exactement ce qu’elles comportent, ce n’est pas de bien administrer l’argent des citoyens, car à la réunion du 11 janvier 2016, la directrice-générale n’était pas en mesure de répondre à la question d’un citoyen puisque les factures n’étaient pas détaillées.

Mme Chartier a également demandé au maire pourquoi il ne respectait pas la confidentialité alors qu’il l’exige de tous les membres du conseil. Comme exemple le dossier d’harcèlement.
Parlant de harcèlement, Mme Chartier a fait la remarque que l’histoire de 2009 se répétait. Alors que quelques conseillers n’étaient pas du même avis que le maire, une plainte d’harcèlement avait surgi de nulle part pour intimider les conseillers et les faire taire.

Et bien. le maire ne s’est pas défendu. Bien au contraire! Il a seulement répété a plusieurs reprise que les faits et manquements que Lise Chartier soulevaient était son opinion, point final. Vraiment? La nonchalance du maire Lacombe envers ses amis pour qu’ils respectent les réglements municipaux est bien documenté. Ses tactiques de peur et d’intimidation aussi. Ce ne sont pas des opinions, ce sont des comportements inacceptables à répétition de la part d’un maire qui se dit bon gestionnaire alors que Sainte-Marie-Madeleine va cumuler un déficit d’environ 600 000$ pour 2014-2016 qui devra être éponger en pigeant dans les surplus accumulés!

Autre fait que Mme Chartier a fait remarquer, dans le journal municipal, dans le budget de 2015 et 2016 était inscrit surplus accumulé au lieu de DÉFICIT au côté du montant déficitaire. Si les citoyens ne font pas leur propre calcul, ils croient que la municipalité a fait un surplus tandis qu’elle est en déficit! Et le maire de dire à Mme Chartier qu’elle allait trop loin quand elle dit que ça manquait de transparence…

Finalement, la seule opinion qui compte pour le maire Lacombe, c’est que quelqu’un pense uniquement comme lui. Le reste, le maire ne veut rien savoir, et il va continuer dans cette voie. Vraiment triste à voir.

Prochaine réunion du conseil le 7 mars 2016!

Réunion extraordinaire du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 21 janvier 2016 : y-a-t’il un maire dans la salle?

La réunion extraordinaire du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 21 janvier 2016 fut courte, car un seul point était à l’ordre du jour. Cependant, il y a lieu de se demander si le maire Lacombe réfléchissait vraiment à ce qu’il disait pendant celle-ci. Les réponses données par le maire Lacombe nous laissent penser que non, et ça ne surprendra personne malheureusement.

Le but de la réunion était d’autoriser le transfert d’un dossier de relations de travail suite au changement de cabinet de l’avocat responsable. Ce dernier représente la municipalité dans ce dossier, et l’autorisation du transfert était pour éviter d’avoir à recommencer avec un nouvel avocat.

Jusque là, rien de bien exceptionnel. Sauf que plus la discussion avançait, et plus la situation se compliquait pour le maire et la directrice-générale.

D’abord, le dossier de relations de travail devait être traité en 2 phases, soit un rapport d’expert sur la question, et des recommandations de l’avocat qui n’avait pas encore été fournis au moment de la réunion. Le fait que l’avocat responsable avait quitté son cabinet n’avait pas été transmis non plus à Sainte-Marie-Madeleine. Et donc, la question était de savoir qui du cabinet ou de l’avocat devait transmettre le rapport. La situation était très confuse pour le maire et la directrice-générale.

Ensuite, et c’est le plus troublant, le dossier justifiant le mandat à l’avocat responsable est confidentiel. Or, les conseillers indépendants ont informé le conseil que des résidents leurs posaient des questions sur les détails de ce dossier! Le maire Lacombe avait informé les conseillers de la confidentialité de ce dossier, mais il ne s’est pas gêné lors de réunions précédentes à dire qu’il s’agissait d’une plainte de harcèlement! Il s’agit d’un manquement grave de la part du maire Lacombe. A-t-il seulement réfléchi aux conséquences auxquels il s’exposait en agissant ainsi?

Lors de la période de questions, un citoyen a demandé s’il aurait bientôt les autorisations pour procéder au développement de son projet Des Noiseux, car il attend après une autorisation pour se connecter sur le réseau d’égouts de Sainte-Marie-Madeleine. Le problème vient des pompes que la municipalité a dû faire réparer malgré qu’elles étaient en bon état selon le maire Lacombe, et il y a eu discussions pour vérifier si les pompes étaient en mesure d’absorber le flux provenant des 10 maisons prévues. Le conseil a promis au citoyen de revenir là-dessus rapidement.

Ce qui ressort de cette réunion, c’est que le maire Lacombe a démontré qu’il ne connaissait pas ces dossiers, et qu’il est plus enclin à dire que ce n’est pas de sa faute, que de répondre aux questions sur sa gestion. Cette démonstration par le maire confirme que contrairement à ce qu’il dit, il est bien responsable des ratés de la gestion à Sainte-Marie-Madeleine, et fort probablement aussi à la source du déficit de Sainte-Marie-Madeleine. Quand on est plus intéressé à sauver la face sur le moment qu’à travailler dans l’intérêt de la municipalité, on fait tout et n’importe quoi, et ce sont les citoyens qui en payent le prix en bout de ligne.

Réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 11 janvier 2016 : le cirque de retour en ville!

La réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 11 janvier 2016 fut courte, car peu de points étaient à l’ordre du jour, mais elle fut ô combien divertissante. Le clown, pardon le maire Lacombe a continué de faire des siennes en racontant n’importe quoi, en traitant de menteurs les conseillers indépendants, et en disant qu’il allait mettre son veto sur tout ce qui ne faisait pas son affaire. Du pur style autoritaire, du Simon Lacombe à son meilleur!

Proces-verbal – 11 janvier 2016

Le maire Lacombe a bien tenté de faire passer les conseillers indépendants pour les méchants. Il a seulement perdu de vue que peu de gens le prennent au sérieux désormais. D’abord, il a affirmé que les conseillers indépendants mentaient au sujet des pompes, qu’elles étaient en bon état, alors que c’est lui-même qui a demandé une réunion spéciale pour faire 25000$ de réparations et d’entretiens sur 3 d’entre-elles! Ensuite, il a tenté de faire lire d’abord par M. Gilles Carpentier, puis ensuite par la directrice générale, un avis juridique confidentiel dans le but évident d’embarrasser les conseillers indépendants. Heureusement, personne n’est tombé dans le piège tendu par le maire Lacombe, surtout qu’en exigeant la lecture du dit document le maire Lacombe a probablement voulu contraindre des personnes à poser des gestes possiblement illégaux. Par ce geste, le maire Lacombe dépasse de beaucoup les bornes de l’acceptable dans sa vendetta contre les conseillers indépendants, et son désir de garder le pouvoir à Sainte-Marie-Madeleine.

Le propriétaire du garage de la honte y est allé de son grain de sel aussi. Le conseil venait de décider d’aller en cour municipal contre un propriétaire qui avait convertit une grange en garage, ce qui constitue un usage dérogatoire selon le zonage. Le propriétaire du garage de la honte a voulu savoir pourquoi il était poursuivit par Sainte-Marie-Madeleine en cour Supérieur pour son cas à lui, alors que selon lui les deux dossiers sont identiques! Le propriétaire du garage de la honte semble vraiment confus à ce sujet. Sainte-Marie-Madeleine a entamé des poursuites pour faire démolir un abri à sel construit sans permis, faire respecter le pourcentage d’occupation, et faire cesser un usage d’entreprise de déneigement dérogatoire. Ce sont des citoyens qui ont entamé une poursuite pour des usages dérogatoire de remorquage, déneigement, crème glacée, terrasse,  d’un changement de zonage comportant des irrégularités, et de demander la démolition du garage. Le propriétaire du garage de la honte a-t-il tant de poursuites contre lui qu’il ne sait plus qui le poursuit et pour quoi?

Une citoyenne a ensuite informé le conseil que la neige tassée près du coin de la rue Normand et du boulevard Laurier empêchait de voir venir les véhicules, ce qui était dangereux. Le propriétaire du garage de la honte a déclaré que la municipalité n’allait pas venir lui dire quoi faire chez lui, alors qu’il méprise ouvertement de multiples règlements municipaux, et que la citoyenne en question devrait aller prendre des cours de conduite parce qu’elle ne sait manifestement pas conduire. La citoyenne a rétorqué qu’elle conduisait très bien depuis très longtemps, et que c’est le propriétaire du garage de la honte qui devrait s’acheter des lunettes pour mieux voir. Après vérification, il a été constaté que la neige était clairement en dehors des limites du terrain de LKQ, notamment à la limite de l’asphalte sur le boulevard Laurier, et donc sur les terrains de la municipalité et/ou du ministère des transports. Or, le Règlement G200 article 17, applicable par la Sûreté du Québec, interdit de mettre de la neige sur un autre terrain que le sien sans avoir obtenu la permission du propriétaire. La municipalité est donc tout à fait en droit d’exiger le retrait de la neige là où elle n’est pas censé être. Le fait que le propriétaire du garage de la honte travaille beaucoup avec la police, comme il l’affirme, n’y change rien. La loi s’applique à tous, que ça lui plaise ou non.

Prochaine réunion du conseil le 1er février 2016!