Archives de catégorie : Contradictions

Réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 7 mars 2016 : intimidation et foire d’empoigne

La réunion du 7 mars 2016 du conseil de Sainte-Marie-Madeleine a été le théâtre de nombreux affrontements entre partisans et opposants du maire. Et comme d’habitude, le maire Lacombe a laissé pourrir la situation, en laissant au propriétaire du garage de la honte une latitude complaisante pour attaquer les conseillers indépendants et les opposants. Il faut aussi noter que c’est la première réunion qui a été filmée par Sainte-Marie-Madeleine, et qui est disponible en ligne au lien suivant :

http://stemmadeleine.videotheque.quebec/maestrov/app/client/AssetManager/AssetManager.php?USERNAME=citoyen&PASSWORD=citoyen&clientSuffix=stemmadeleine

Le début de la réunion a été marqué par une question d’un citoyen au maire Lacombe, à savoir s’il avait des intérêts dans le projet domiciliaire de l’ancien terrain de LKQ. Le maire Lacombe a répondu par la négative, mais peut-on vraiment le croire? L’époque où ce que disait le maire Lacombe était parole d’évangile est révolue depuis longtemps. Et les faits des derniers mois prouvent que le maire Lacombe n’est pas digne de confiance. La réponse du maire Lacombe doit donc être prise avec un gros grain de sel. De plus, le maire a ajouté qu’il appuyait le projet pour les citoyens, pour amener des taxes à la municipalité, alors même que sa gestion broche à foin mettra Sainte-Marie-Madeleine en déficit! Et n’oublions pas que les citoyens que le maire Lacombe aime sont ceux qui pensent comme lui, les autres il tente par tous les moyens de les faire taire… Pour le gros bon sens, on repassera.

La réunion en tant que tel a été plutôt tranquille, c’est lorsque l’ordre du jour est arrivé à un point du varia ajouté par le maire Lacombe que la situation s’est envenimée. Le point ajouté concernait un projet de développement résidentiel dans l’ancien terrain de LKQ proposé par le propriétaire du garage de la honte! Et oui, malgré 2 refus il y a de ça plusieurs mois, ce dernier revenait à la charge. Et devinez quoi? Le projet a de nouveau été rejeté majoritairement par le conseil pour une raison bien simple : le terrain de LKQ est le dernier terrain commercial de la municipalité, alors qu’il y a d’autres zones blanches prêtes à développer avant. Il s’agit là d’une raison tout à fait logique de la part du conseil.

Ce refus a irrité Sylvain Lévesque et son père. Il a demandé s’il devait faire comme d’autres ont fait, et mettre les photos des conseillers indépendants sur de belles pancartes pour que le projet débloque! Si le propriétaire du garage de la honte veut ainsi faire accepter son projet, ce n’est pas en faisant de l’intimidation de cette façon qu’il réussira! D’ailleurs, la mémoire courte de Sylvain Lévesque est facile à démontrer, car aucune photo n’a jamais été mis sur une pancarte par les opposants, sauf lors de l’élection complémentaire.

Il a ensuite informé le conseil qu’il avait fait une tournée des rues Jarry, Normand et Millette, et que les quelques citoyens rencontrés appuyaient son projet, sans en amener la moindre preuve ou personne qui l’appuierait dans ses dires. Il est bien connu que le propriétaire du garage de la honte parle énormément à travers de son chapeau, et il s’agit là probablement d’un autre exemple de ses exagérations. Il a ensuite affirmé qu’il voudrait travailler de connivence avec la municipalité pour développer ce terrain. Connivence? Si vous allez voir dans le dictionnaire ce que ce mot veut dire, il s’agit d’entente secrète, de collusion. Le propriétaire du garage de la honte venait de dire devant tous qu’il voulait travailler sur une entente ou participation secrète avec la municipalité! Soit qu’il s’agit d’un lapsus, soit qu’il ne sait pas de quoi il parle, mais dans les deux cas, ça ressemble bien à sa manière de fonctionner utilisé pour le garage de la honte, et cela n’a rien de rassurant pour les citoyens.

Mis devant le fait qu’il ne respecte par les réglements municipaux, et plus d’une fois, le propriétaire du garage de la honte a affirmé sans gêne que les règlements seraient respectés dans le développement résidentiel. Mais quelle farce! Qu’il commence par prendre action sur ce qui n’est pas conforme sur ses terrains et ensuite, il pourra être pris au sérieux. Si on en juge par ses actions passées, pourquoi cette fois-ci, serait différente ? C’est suffisant pour douter de sa bonne volonté.

D’ailleurs, le maire Lacombe n’a aucune idée des chiffres de ce projet, ni comment cela coûterait, ni comment cela rapporterait. Aucune administration digne de ce nom sur la planète ne parle de projet avant d’avoir fait un plan d’affaire et d’avoir des chiffres concrets à présenter. Lors d’une réunion à l’automne 2015, un citoyen avait posé la question au maire à savoir combien ce projet allait rapporter à la municipalité. Le maire avait répondu, on a juste à le faire et vous allez voir! Et le maire Lacombe se dit bon gestionnaire? Pas étonnant dans ce cas que Sainte-Marie-Madeleine est en déficit! Encore une fois, le maire Lacombe embelli la vérité devant les citoyens. Ça en devient presque prévisible de sa part…

Les conseillers indépendants ont eu la bonne attitude en refusant ce projet. Mme Noëlla Paquette, la grande victime du garage de la honte, a dû insister auprès du maire pour pouvoir placer un mot, car à chaque fois qu’elle veut parler, le maire la fait taire. Elle a déclaré que c’est pitoyable que des citoyens doivent payés pour faire appliquer les lois et règlements à des gens comme le propriétaire du garage de la honte. À quoi bon aller chercher plus de taxes avec un projet résidentiel si c’est pour le dépenser en poursuites? Et pour paraphraser Sylvain Lévesque et le maire, les citoyens seront effectivement juge entre des conseillers qui veulent que tous les citoyens respectent la réglementation de la municipalité, ou un maire qui favorise ses amis, se prend pour un roi, et est prêt à n’importe quoi pour garder le pouvoir. Au final, le choix est clair : le règne du maire Lacombe a assez duré.

Prochaine réunion du conseil le 4 avril 2016!

Réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 1er février 2016 : l’histoire se répête

Depuis le début de la controverse du garage de la honte, la réunion du conseil municipal de Sainte-Marie-Madeleine du 1er février 2016 fut la plus courte : environ 50 minutes top chrono! Mais n’allez pas croire que rien n’est arrivé pendant cette réunion.

L’ordre du jour en soit était peu volumineux. Il y avait en effet beaucoup de points généraux sans grand intérêt. L’ordre du jour fut donc expédié rapidement.

Proces-verbal – 1er février 2016

Le maire Lacombe a cependant fait ajouter un point à l’ordre du jour qui mérite d’être mentionné. La résolution ajoutée était que les conseillers indépendants Gilles Carpentier et Jean-Guy Chassé fassent rapport sur les discussions qu’ils ont eu avec Sainte-Madeleine au sujet d’un possible regroupement des services des loisirs. Le maire Lacombe ne manque pas de culot ou d’arrogance ici. Il est en effet un champion quand il est temps de ne pas répondre aux questions des citoyens ou faire rapport sur les activités de la municipalité. Bref, un champion de la noirceur et des cachoteries. Il n’est pas placé du tout pour faire des leçons de transparence aux conseillers indépendants! Bien sûr que ces derniers vont faire rapport au conseil, car ils font preuve de transparence, eux.

La citoyenne Lise Chartier a prit le plancher à la période de questions. Elle a commencé en faisant remarquer à Mme Bernatchez qu’il ne suffisait pas seulement de dire qu’elle prenait en note et qu’elle s’occuperait de la demande d’une citoyenne, mais qu’elle devrait s’en occuper vraiment. Une demande avait été faite à l’été 2015, et encore rien n’avait été discuté jusqu’à ce jour. Pour l’efficacité, on repassera.

Ensuite Mme Chartier a demandé à la directrice-générale si elle demanderait des factures détaillées à l’avenir, puisque payer des factures sans savoir exactement ce qu’elles comportent, ce n’est pas de bien administrer l’argent des citoyens, car à la réunion du 11 janvier 2016, la directrice-générale n’était pas en mesure de répondre à la question d’un citoyen puisque les factures n’étaient pas détaillées.

Mme Chartier a également demandé au maire pourquoi il ne respectait pas la confidentialité alors qu’il l’exige de tous les membres du conseil. Comme exemple le dossier d’harcèlement.
Parlant de harcèlement, Mme Chartier a fait la remarque que l’histoire de 2009 se répétait. Alors que quelques conseillers n’étaient pas du même avis que le maire, une plainte d’harcèlement avait surgi de nulle part pour intimider les conseillers et les faire taire.

Et bien. le maire ne s’est pas défendu. Bien au contraire! Il a seulement répété a plusieurs reprise que les faits et manquements que Lise Chartier soulevaient était son opinion, point final. Vraiment? La nonchalance du maire Lacombe envers ses amis pour qu’ils respectent les réglements municipaux est bien documenté. Ses tactiques de peur et d’intimidation aussi. Ce ne sont pas des opinions, ce sont des comportements inacceptables à répétition de la part d’un maire qui se dit bon gestionnaire alors que Sainte-Marie-Madeleine va cumuler un déficit d’environ 600 000$ pour 2014-2016 qui devra être éponger en pigeant dans les surplus accumulés!

Autre fait que Mme Chartier a fait remarquer, dans le journal municipal, dans le budget de 2015 et 2016 était inscrit surplus accumulé au lieu de DÉFICIT au côté du montant déficitaire. Si les citoyens ne font pas leur propre calcul, ils croient que la municipalité a fait un surplus tandis qu’elle est en déficit! Et le maire de dire à Mme Chartier qu’elle allait trop loin quand elle dit que ça manquait de transparence…

Finalement, la seule opinion qui compte pour le maire Lacombe, c’est que quelqu’un pense uniquement comme lui. Le reste, le maire ne veut rien savoir, et il va continuer dans cette voie. Vraiment triste à voir.

Prochaine réunion du conseil le 7 mars 2016!

Le dernier recours

Chronique très intéressante de Josée Legault dans le Journal de Montréal du 19 février 2016.

http://www.journaldemontreal.com/2016/02/18/le-dernier-recours

Voici comment Mme Legault termine sa chronique :

Devoir recourir aux tribunaux pour tenter d’obliger un gouvernement à respecter ses propres lois est le symptôme inquiétant d’une démocratie de plus en plus sourde.

En une phrase, elle vient de résumer parfaitement la situation avec le maire Lacombe et le garage de la honte. La poursuite lancé par des opposants pour faire démolir le garage de la honte est bien le symptôme que tout va mal à Sainte-Marie-Madeleine.

Depuis le début de cette controverse, est-ce que le maire Lacombe a été à l’écoute des citoyens? Pas du tout! Bien au contraire! Mises en demeure, présence policière, salissage, le maire Lacombe est resté sourd face à toute cette contestation. Il fait en cela un déni de démocratie qui montre bien qu’il se pense le roi de Sainte-Marie-Madeleine.

Pour forcer le maire Lacombe à faire respecter les règlements municipaux à son ami le propriétaire du garage de la honte, tel que la loi lui oblige, les opposants n’ont eu d’autre choix que de s’adresser aux tribunaux. Le maire Lacombe ne semble plus servir les intérêts des citoyens de Sainte-Marie-Madeleine, et ce depuis longtemps, mais son laxisme et sa complaisance laisse croire qu’il sert bien ceux de ses amis. Il détruit ainsi sa propre crédibilité, et celle de Sainte-Marie-Madeleine, mais il semble bien s’en moquer, il n’en a rien à faire, car il se pense roi. L’orgueil et la suffisance du maire Lacombe seront probablement ce qui le perdra, car déjà, des voix d’autres citoyens s’élèvent pour que des réponses soient données, et que la réglementation municipale soit respectée par tous, sans exception. Si le maire Lacombe ne veut rien comprendre, ce sera peut-être un juge qui lui fera comprendre. Quel gâchis.

Réunion extraordinaire du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 21 janvier 2016 : y-a-t’il un maire dans la salle?

La réunion extraordinaire du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 21 janvier 2016 fut courte, car un seul point était à l’ordre du jour. Cependant, il y a lieu de se demander si le maire Lacombe réfléchissait vraiment à ce qu’il disait pendant celle-ci. Les réponses données par le maire Lacombe nous laissent penser que non, et ça ne surprendra personne malheureusement.

Le but de la réunion était d’autoriser le transfert d’un dossier de relations de travail suite au changement de cabinet de l’avocat responsable. Ce dernier représente la municipalité dans ce dossier, et l’autorisation du transfert était pour éviter d’avoir à recommencer avec un nouvel avocat.

Jusque là, rien de bien exceptionnel. Sauf que plus la discussion avançait, et plus la situation se compliquait pour le maire et la directrice-générale.

D’abord, le dossier de relations de travail devait être traité en 2 phases, soit un rapport d’expert sur la question, et des recommandations de l’avocat qui n’avait pas encore été fournis au moment de la réunion. Le fait que l’avocat responsable avait quitté son cabinet n’avait pas été transmis non plus à Sainte-Marie-Madeleine. Et donc, la question était de savoir qui du cabinet ou de l’avocat devait transmettre le rapport. La situation était très confuse pour le maire et la directrice-générale.

Ensuite, et c’est le plus troublant, le dossier justifiant le mandat à l’avocat responsable est confidentiel. Or, les conseillers indépendants ont informé le conseil que des résidents leurs posaient des questions sur les détails de ce dossier! Le maire Lacombe avait informé les conseillers de la confidentialité de ce dossier, mais il ne s’est pas gêné lors de réunions précédentes à dire qu’il s’agissait d’une plainte de harcèlement! Il s’agit d’un manquement grave de la part du maire Lacombe. A-t-il seulement réfléchi aux conséquences auxquels il s’exposait en agissant ainsi?

Lors de la période de questions, un citoyen a demandé s’il aurait bientôt les autorisations pour procéder au développement de son projet Des Noiseux, car il attend après une autorisation pour se connecter sur le réseau d’égouts de Sainte-Marie-Madeleine. Le problème vient des pompes que la municipalité a dû faire réparer malgré qu’elles étaient en bon état selon le maire Lacombe, et il y a eu discussions pour vérifier si les pompes étaient en mesure d’absorber le flux provenant des 10 maisons prévues. Le conseil a promis au citoyen de revenir là-dessus rapidement.

Ce qui ressort de cette réunion, c’est que le maire Lacombe a démontré qu’il ne connaissait pas ces dossiers, et qu’il est plus enclin à dire que ce n’est pas de sa faute, que de répondre aux questions sur sa gestion. Cette démonstration par le maire confirme que contrairement à ce qu’il dit, il est bien responsable des ratés de la gestion à Sainte-Marie-Madeleine, et fort probablement aussi à la source du déficit de Sainte-Marie-Madeleine. Quand on est plus intéressé à sauver la face sur le moment qu’à travailler dans l’intérêt de la municipalité, on fait tout et n’importe quoi, et ce sont les citoyens qui en payent le prix en bout de ligne.

Ah que la neige s’est tassé…

Visiblement, la visite chez l’optométriste conseillé au propriétaire du garage de la honte par une citoyenne à la dernière réunion du conseil à porté ses fruits.

En effet, la neige poussé sur le bord du boulevard Laurier par le propriétaire du garage de la honte, qui obstruait la vue aux voitures sur le rue Normand qui désirait accéder au boulevard Laurier, a été repoussé sur le terrain de LKQ par le propriétaire du garage de la honte.

Ce dernier, qui se décrit comme un homme ayant à coeur sa communauté, aurait pu faire ce geste sans que la citoyenne invervienne à la dernière réunion du conseil. Il a préféré à la place faire une scène à ce sujet, et par le fait même se ridiculiser à enlever la neige quelques jours plus tard. Pourtant, comme le propriétaire du garage de la honte le dit lui-même, c’étais une question de gros bon sens que d’assurer la sécurité des citoyens!

Réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 11 janvier 2016 : le cirque de retour en ville!

La réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 11 janvier 2016 fut courte, car peu de points étaient à l’ordre du jour, mais elle fut ô combien divertissante. Le clown, pardon le maire Lacombe a continué de faire des siennes en racontant n’importe quoi, en traitant de menteurs les conseillers indépendants, et en disant qu’il allait mettre son veto sur tout ce qui ne faisait pas son affaire. Du pur style autoritaire, du Simon Lacombe à son meilleur!

Proces-verbal – 11 janvier 2016

Le maire Lacombe a bien tenté de faire passer les conseillers indépendants pour les méchants. Il a seulement perdu de vue que peu de gens le prennent au sérieux désormais. D’abord, il a affirmé que les conseillers indépendants mentaient au sujet des pompes, qu’elles étaient en bon état, alors que c’est lui-même qui a demandé une réunion spéciale pour faire 25000$ de réparations et d’entretiens sur 3 d’entre-elles! Ensuite, il a tenté de faire lire d’abord par M. Gilles Carpentier, puis ensuite par la directrice générale, un avis juridique confidentiel dans le but évident d’embarrasser les conseillers indépendants. Heureusement, personne n’est tombé dans le piège tendu par le maire Lacombe, surtout qu’en exigeant la lecture du dit document le maire Lacombe a probablement voulu contraindre des personnes à poser des gestes possiblement illégaux. Par ce geste, le maire Lacombe dépasse de beaucoup les bornes de l’acceptable dans sa vendetta contre les conseillers indépendants, et son désir de garder le pouvoir à Sainte-Marie-Madeleine.

Le propriétaire du garage de la honte y est allé de son grain de sel aussi. Le conseil venait de décider d’aller en cour municipal contre un propriétaire qui avait convertit une grange en garage, ce qui constitue un usage dérogatoire selon le zonage. Le propriétaire du garage de la honte a voulu savoir pourquoi il était poursuivit par Sainte-Marie-Madeleine en cour Supérieur pour son cas à lui, alors que selon lui les deux dossiers sont identiques! Le propriétaire du garage de la honte semble vraiment confus à ce sujet. Sainte-Marie-Madeleine a entamé des poursuites pour faire démolir un abri à sel construit sans permis, faire respecter le pourcentage d’occupation, et faire cesser un usage d’entreprise de déneigement dérogatoire. Ce sont des citoyens qui ont entamé une poursuite pour des usages dérogatoire de remorquage, déneigement, crème glacée, terrasse,  d’un changement de zonage comportant des irrégularités, et de demander la démolition du garage. Le propriétaire du garage de la honte a-t-il tant de poursuites contre lui qu’il ne sait plus qui le poursuit et pour quoi?

Une citoyenne a ensuite informé le conseil que la neige tassée près du coin de la rue Normand et du boulevard Laurier empêchait de voir venir les véhicules, ce qui était dangereux. Le propriétaire du garage de la honte a déclaré que la municipalité n’allait pas venir lui dire quoi faire chez lui, alors qu’il méprise ouvertement de multiples règlements municipaux, et que la citoyenne en question devrait aller prendre des cours de conduite parce qu’elle ne sait manifestement pas conduire. La citoyenne a rétorqué qu’elle conduisait très bien depuis très longtemps, et que c’est le propriétaire du garage de la honte qui devrait s’acheter des lunettes pour mieux voir. Après vérification, il a été constaté que la neige était clairement en dehors des limites du terrain de LKQ, notamment à la limite de l’asphalte sur le boulevard Laurier, et donc sur les terrains de la municipalité et/ou du ministère des transports. Or, le Règlement G200 article 17, applicable par la Sûreté du Québec, interdit de mettre de la neige sur un autre terrain que le sien sans avoir obtenu la permission du propriétaire. La municipalité est donc tout à fait en droit d’exiger le retrait de la neige là où elle n’est pas censé être. Le fait que le propriétaire du garage de la honte travaille beaucoup avec la police, comme il l’affirme, n’y change rien. La loi s’applique à tous, que ça lui plaise ou non.

Prochaine réunion du conseil le 1er février 2016!

Sainte-Marie-Madeleine dans le rouge!

La soi-disante bonne gestion de Sainte-Marie-Madeleine par le maire Lacombe en a prit pour son rhume lorsqu’à la dernière réunion du conseil il a été annoncé que la municipalité avait enregistré un déficit de 200 000$ pour l’exercice en cours! Et le maire Lacombe dans son arrogance essaie de faire croire aux citoyens que ce serait la faute à Gilles Carpentier! Surtout qu’il y avait un déficit presque du même montant l’an dernier et Gilles Carpentier n’était pas là! Avant de mettre la faute sur quelqu’un, le maire Lacombe aurait dû faire une grosse introspection, car le responsable c’est lui, et lui seul, comme vous allez le constater.

D’abord, les égoûts construits sur le boulevard Laurier l’ont été avec un montant de 900 000$ provenant de la taxe d’accise, et de 200 000$ provenant du surplus accumulé, pour un total de 1,1 millions. La taxe d’accise, au lieu de financer une infrastructure dont la majorité des citoyens de Douville ne veulent pas, aurait pu servir à régler le problème d’alimentation des bornes-fontaines dans le domaine Huron que le maire Lacombe laisse traîné depuis au moins 25 ans! Le maire Lacombe a un gros problème à mettre ses priorités aux bonnes places!

Ensuite, comment ne pas passer sous silence les frais d’avocats qui ont bien évidemment explosés. Les décisions très litigieuses que le maire Lacombe a poussé  pour qu’elles soient adoptées par le conseil, notamment la construction du garage de la honte, sont la cause de ces coûts supplémentaires que Sainte-Marie-Madeleine aurait pu éviter. Et il ne faut pas oublier les frais d’avocats payés pour la rédaction du bulletin spécial qui n’était qu’un écran de fumée pour aveugler les citoyens afin qu’ils ne voient pas les erreurs et les contradictions dans ce dossier! (voir l’analyse en 3 partie : partie 1, partie 2, partie 3). De plus, il y a aussi les mises en demeures envoyées par le maire Lacombe à mettre dans ces dépenses douteuses. Ces mises en demeure ont été envoyées pour tenter de faire taire les opposants, ces derniers ayant tout simplement mis sur la place publique les dérives et contradictions du maire Lacombe.

Les loisirs, qui ont été dans l’actualité dernièrement, sont aussi en cause dans le déficit de la municipalité. En effet, bien que le budget des loisirs ait été respecté, ce sont les frais de voirie reliés aux loisirs qui ont coûté quelques dizaines de milliers de dollars à Sainte-Marie-Madeleine. Et dire que le maire Lacombe affirme que ça coûterait plus cher de retourner avec Sainte-Madeleine pour les loisirs! Il est pourtant très mal placé pour parler sur ce sujet, vu qu’il n’est pas capable de mettre sur la table les vrais chiffres pour les loisirs!

Le budget alloué pour les pompiers a été défoncé également de plusieurs dizaines de milliers de dollars. L’embauche de nouveaux pompiers, et aussi l’achat de nouveau matériel, sont en cause dans ce dépassement. Il est de notoriété public que le service d’incendie a été négligé par le maire Lacombe par les années passées.

Finalement, il y a les 25 000$ de réparations sur les pompes de la municipalité, alors que le maire Lacombe assurait qu’elles étaient en bon état! Encore une dépense imprévue causée par la gestion broche à foin de Sainte-Marie-Madeleine par le  maire Lacombe!

Le maire Lacombe, par ce déficit, démontre clairement que sa bonne gestion de Sainte-Marie-Madeleine n’est que de la poudre aux yeux. Il dépense l’argent de Sainte-Marie-Madeleine sur des projets faramineux qui pourraient servir plus ses amis que les citoyens, et ne veut pas faire des dépenses importantes et cruciales de maintenance d’infrastructure pour soi-disant éviter d’augmenter les taxes! Heureusement que le ridicule ne tue pas!

Réunion du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 7 décembre 2015 : le maire Lacombe se fait servir sa propre médecine

Pour une rare occasion au cours des derniers mois, la séance du conseil de Sainte-Marie-Madeleine du 7 décembre 2015 fut courte, et menée rondement. Ce qui n’a pas empêché le maire Lacombe de pratiquer ses deux sports préférés, soit se plaindre que tout est bloqué à Sainte-Marie-Madeleine, bien qu’il n’a pas de leçons à donner à personne dans ce domaine, et d’affirmer tout et n’importe quoi sans apporter la moindre preuve.

Procès-verbal – 7 décembre 2015

Dû aux changements dans le rôle d’évaluation, les terres agricoles de la municipalité vont subir une hausse d’environ 40% de taxe foncière. Les agriculteurs présents ont fait savoir leur inquiétude au maire Lacombe devant cette situation, et ont parlé d’une solution qui permettrait d’étaler la hausse. Le maire Lacombe s’est abstenu de discuter de ce sujet en invoquant un conflit d’intérêt. Voilà une réponse facile à dire, et un nouveau manque de volonté de la part du maire Lacombe de vouloir répondre aux problèmes des citoyens. C’est pourtant pour ça qu’il a été élu!

Le dossier des loisirs a été repoussé en janvier, étant donné que les membres du conseil n’avaient pas en main les chiffres des prévisions de l’OTJ Desnoyers pour 2016. D’ailleurs, la proposition pour une entente avec Sainte-Madeleine pour les loisirs est toujours sur la table, et le conseil devra éventuellement faire un choix à ce sujet.

Un dernier point qui fut ajouté au varia, et qui a mit le maire Lacombe en beaux fusils, fut de faire une résolution pour que les avocats communiquent toutes les informations, en même temps qu’au maire et la directrice générale, à deux conseillers indépendants pour être au courant de toutes les causes pendantes de Sainte-Marie-Madeleine. Le maire Lacombe a bien évidemment signifié son intention de mettre son veto sur cette résolution. Cela a mit en lumière encore une fois le style autoritaire du maire Lacombe et son peu de transparence envers les conseillers et les citoyens. Surtout que c’était le style du maire Lacombe dans la passé d’apporter des points à la dernière minute pour faire adopter des résolutions sans permettre aux conseillers de prendre le temps d’y réfléchir. Il s’est donc fait servir sa propre médecine.

Et les partisans du maire dans tout ça? Et bien, ils furent très discrets, ce qui fut un changement salutaire par rapport à la dernière réunion.

La réunion aura donc permis de faire d’autres avancées pour les citoyens. Le maire Lacombe serait mieux de se faire à l’idée, lui qui ne cherche qu’à garder son pouvoir sur Sainte-Marie-Madeleine sans se préoccuper des citoyens.

Prochaine réunion du conseil le 11 janvier 2016!

Nouvelle démolition dans le secteur Douville

L’ancien bâtiment abritant LKQ, et précédemment Atlas escalateurs, au coin de la rue Normand et du boulevard Laurier, a été démoli en fin de semaine.

La dernière démolition dans ce secteur a donné naissance à la controverse du garage de la honte dont les détails sont bien connus, et qui est toujours devant les tribunaux. Le bâtiment de LKQ a pu être démoli après la délivrance dans les règles d’un permis de démolition.

Reste à savoir ce qui arrivera avec ce nouvel espace vide. Le propriétaire du terrain étant toujours LKQ, et le règlement de zonage étant clair (sauf pour certains, voir ici et ici), il ne pourra pas y avoir de 2e garage de la honte sur ce terrain. Peu importe ce qui sera construit, le nouveau bâtiment devra respecter toute la règlementation en vigueur, incluant les usages permis par le zonage, et l’orientation du conseil sur ce secteur, à savoir qu’il reste commercial. En effet, les conseillers indépendants veillent au grain, et le maire Lacombe devra respecter la volonté du conseil, que ça lui plaise ou non.

Le maire Lacombe aurait dû y penser avant, car il est trop tard

Dans le bulletin municipal de novembre 2015, le maire Lacombe présente ses orientations pour le budget 2016 pour Sainte-Marie-Madeleine. Dans une tentative de rattrapage évidente, le maire Lacombe a le culot de faire de la politique au frais des citoyens en demandant la collaboration de certains membres du conseil (lire ici les conseillers indépendants)!

Bulletin mensuel novembre 2015

C’est effronté de la part du maire Lacombe de demander la collaboration des conseillers indépendants, alors que lui ne veut rien savoir d’eux! Il fait de l’obstruction systématique, ne se gêne pas pour faire du salissage contre ses adversaires, il menace les opposants à coup de mises en demeure, et maintenant il prend un ton mielleux, pour bien paraître devant les citoyens qui ne connaissent pas son vrai visage, pour demander de la collaboration? Ce que veut le maire Lacombe, c’est que les affaires de Sainte-Marie-Madeleine fonctionnent comme il veut, que les conseillers obéissent à ces ordres, et que les opposants se taisent. Le maire Lacombe n’est aucunement intéressé à collaborer avec qui que ce soit, même pas avec le gros bon sens!

Le maire Lacombe est également très en retard dans les nouvelles. Le projet de développement domiciliaire dans l’ancien terrain de LKQ a été rejeté majoritairement par le conseil, de même que le prolongement des égoûts dans le secteur Douville. À la place, le conseil a décidé majoritairement de faire une étude exhaustive de toutes les installations septiques de Sainte-Marie-Madeleine. Quand à l’OTJ Desnoyers, le maire Lacombe n’a apporté aucun élément qui prouverait que l’entente actuel est meilleure qu’une possible entente avec Sainte-Madeleine sur la question des loisirs. Le conseil a d’ailleurs voté majoritairement pour entreprendre des discussions avec Sainte-Madeleine pour voir si un service des loisiers commun serait plus avantageux. Voilà ce que le maire Lacombe devrait faire, se renseigner avant de dire n’importe quoi, et c’est ce que font les conseilleurs indépendants. D’ailleurs, c’est bien le maire Lacombe qui disait que les pompes de Sainte-Marie-Madeleine fonctionnaient parfaitement, mais qu’une réunion spéciale a été demandé pour autoriser leur réparation?

Et quant est-il des bornes-fontaines au domaine Huron, dont l’installation de bornes supplémentaires n’a pas été encore faite malgré un vote majoritaire du conseil à ce sujet? Le maire n’est pas pressé de répondre aux demandes légitimes en matière de sécurité de ses citoyens. Il préfère pousser pour un projet qui servirait les intérêts d’un promoteur avant ceux des citoyens, notamment en promettant des revenus de taxe qui ne reposent que sur du vent, et ne parle aucunement des coûts fort probables élevés pour les citoyens. Est-ce qu’il fait cela pour aider un ami, comme il le fait en faisant obstruction pour faire respecter la réglementation municipale auprès du propriétaire du garage de la honte, dont il se dit l’ami justement? La question se pose.

Le maire Lacombe ressasse encore les mêmes histoires, et ne comprend pas que les citoyens et le conseil sont déjà ailleurs. Les arguments du maire Lacombe n’impressionnnent plus personne, et son favoritisme envers certains citoyens ne fait plus de doute. Le maire Lacombe demande de regarder vers l’avenir, alors dans ce cas, celui-ci devrait regarder son propre avenir, et faire ce qui serait le plus bénéfique pour les citoyens de Sainte-Marie-Madeleine : démissionner. Les citoyens méritent mieux qu’un maire qui se moque d’eux depuis trop longtemps.